Je n’accroche pas trop a l’interpretation biblique, sans doute a cause de mon atheisme, désolé! La symbolique n’est peut-être pas des plus fine mais elle est néanmoins sacrément forte. Je trouve que tout s’imbrique dans le sens où l’on peut relier les différents personnages. Et n'oubliez pas de réagir en commentaires. L’artiste ne controle plus son oeuvre! Une veuve élève son fils unique Do-joon qui est sa seule raison dêtre. La critique cinéma, c’est un métier ! La destruction de la pierre, quant à elle, n’est rien d’autre qu’une symbolique du fruit défendu, à laquelle on pourrait d’ailleurs ajouter le bureau comme Jardin d’Eden (avec l’arbre du savoir). Jusqu’où une mère peut aller pour protéger son enfant ? Sans “Mother”, il n’y a plus de vie et donc personne pour l’admirer. En tous cas quand tout s’est connecté avec la phrase finale pour moi, ça m’a mis en état de choc… ), Dieu fait ce qu’il peut avec ses valeurs, il finit par causer la fin du Monde, mais il est capable, malgré tous ses stigmates, de recréer à chaque fois un nouveau cycle, comme notre ami Darrel qui recrée un nouveau film à chaque fois, même si c’est éprouvant. D’ailleurs Il termine son oeuvre d’art alors qu’Elle est prête a accoucher Le monde apprend la naissance de son oeuvre-enfant et vient le flatter et envahir l’univers-maison d’Elle! Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d’art l’attend et le cycle créatif recommence. Il n’a pas d’amour. La maison est tout à la fois l’antre du créateur et la projection d’un ideal sécurisant pour la femme, un lieu dans lequel elle s’incarne, comme un double d’elle-même même et dont l’image constitue le reflet de son état. , Merci pour le développement, je comprends un peu mieux ! Si l’on se fixe sur le personnage de Jennifer Lawrence, on a : Une liste des meilleurs films Coréens que j'ai pu voir à l'heure actuel . On voit finalement que Mère-nature a plus de jugeote que Dieu lui-même (le film est plus grand que son réalisateur ? Je pense que le réal veut expier le mal qu’il a pu faire à ses ex sans le vouloir. Bien sûr, il est nécessaire qu’une œuvre, quelle qu’elle soit, puisse conserver une certaine ambiguïté, mais il me paraît tout de même indispensable qu’elle puisse également offrir des clés d’interprétation viables pour être appréciées. Mais cela peut-être vu aussi de manière plus optimiste : le cycle se répète et peut-être qu’une fois, le cycle se déroulera correctement. au Québec est un film d'horreur psychologique américain écrit et réalisé par Darren Aronofsky, sorti en 2017. Rapidement, leur vie tranquille est interrompue par l’arrivée d’un vieux couple, L’HOMME (Ed Harris) et LA FEMME (Michelle Pfeiffer). C’est le premier spectacle de Mother, cette énergie surhumaine, ce feu sacré brûlant dans un corps aussi chétif, aussi fragile que celui d’une actrice (Kim Hye-ja, abonnée aux rôles de mères pour la télévision coréenne) âgée de soixante-dix ans. Mais il n’est pas purement mauvais, parfois il apparaît comme un Dieu : quand il est filmé en contre-plongée au 2e, et demande aux invités de sortir. ( Déconnexion / Le film Mother (Corée du Sud, 2009) du réalisateur Bong Joon-ho a été diffusé lors du 25e Festival International du Film de Fribourg dans le cadre d’un panorama dédié à la figure de la femme dans le film noir. On ne sait pas grand-chose à son sujet, si ce n’est qu’elle arrête de le prendre une fois enceinte, et que la situation se dégrade ensuite rapidement. Attention le film est violent et n’est absolument pas à mettre devant tous les yeux ! Quelque temps plus tard, son ouvrage est publié et rencontre le succès. Pour Lui, c'est la délivrance. Il est à la fois mégalo, il a du mal à s’occuper de sa femme (Mère Nature) et même de son fils. Comme vous l’expliquez le cycle se répète et l’homme recommence jusqu’à que le cycle s’arrète. Vous avez pas le cerveau qui fume après à vous poser toutes ces questions ?. Vous avez d'autres explications ? Doctor Who Saison 9 Episode 1 : EXTERMINATE ! Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Page suivante : La création à tout prix ? Lui, son époux, représente à mon avis Satan. Encore plus quand on s’intéresse scrupuleusement au personnage de Jennifer Lawrence. L’URL a été copîé LIKE SAVE PRINT. La notion du pardon par exemple, de la famille, on les retrouve partout, et en chaque époque, et dans chaque peuple, l’homme se bat surtout sur les formes, ou la manière dont on les pratiques, mais dans le fond, on est tous semblable, et ont fonctionnent tous sur le même schéma. D’ailleurs, MOTHER le cerne très bien à la fin du film en déclarant qu’il ne l’aime pas vraiment, il aime le fait qu’elle l’aime. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Le culte voué à lui, clairement satanique. Mother film coréen de Bong Joon-ho Incipit : une femme, la cinquantaine, sérieuse, concentrée, dans une grande prairie de hautes herbes, une femme qui vacille, ou qui esquisse un pas de danse, on ne sait… Pour ma part, je trouve justement que certains niveaux de lecture manquent de sens quand on les associe. Dans le chaos, MOTHER accouche d’un fils, rapidement confisqué et tué par les innombrables visiteurs. Le premier, peut-être le plus évident, est directement lié à la religion, et plus précisément à l’histoire biblique. Quant à la cave, il pourrait tout simplement s’agir de l’enfer (feu). Concernant le cave, ne serait-ce pas la représentation de l’Enfer sans compter le feu dans la chaudière ? Furieuse, MOTHER incendie la maison pour exterminer ses occupants. En attente d’explications sur ce liquide jaune, mais aussi sur la “cave” que découvre Mother, pourquoi est-elle cachée au début du film, quel est le but de la scène où Mother la découvre ? Avec le recul, il est toutefois possible de dégager certaines pistes de réflexion permettant de mieux appréhender l’ensemble et, pourquoi pas, de tenter de comprendre ce que le réalisateur américain a voulu nous dire. : Explications du film de Darren Aronofsky, La parole à l'une de nos lectrice, et psychologue, Critique de Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann. Une fois son oeuvre-enfant « consommée », l’Inspiration, désormais inutile, préfère, comme une femme désespérée, se détruire et disparaitre elle-même par le feu: Il ne restera plus d’Elle que des cendres de souvenirs… Bonjour, merci pour cet article ! Je comprends ce que tu veux dire, et c’est d’autant plus vrai dès que les personnages ont une dimension métaphorique. Dans le même temps, Mother commence à ressentir des choses bizarres, comme des étourdissements, et une fissure ensanglantée plutôt étrange apparait sur le plancher. Mother est en colère décide de brûler la maison. Page 2 : La création et la religion “Le Poète” pourrait renvoyer a DANTE (et a la “Divine Comédie”) traversant les neufs Cercles de l’enfer. J’espère que mon explication sera suffisamment claire. ( Déconnexion / Quand au film en général les critiques faites par l’article sont plutôt satisfaisante. Laissez donc un commentaire ! Il est d’ailleurs intéressant de constater que, du début à la fin, le personnage ne quitte jamais la maison. Un fanatisme dont la portée peut être terriblement aveuglante pour les artistes, ceux-ci recherchant parfois désespérément toute forme de reconnaissance. Il survit à l’incendie sans une égratignure, car le feu est son élément. Je crois que les trois interprétations que tu as citées sont celles qui ressortent le plus. Très belle analyse! Avant qu’elle ne voie Eve et Adam en plein acte, ou que cette dernière ne lui parle de ses ébats, le couple de Mother et de Dieu ne semble pas avoir une vie sexuelle palpitante. [Interprétation] Mother ! Et je tiens également à préciser que pour moi, le regard biblique qu’a le film a été très, TRÈS marqué. Film « catasdrôle » Le cinéma coréen se porte bien. Quelque chose d’unique, mais qui parle à tout le monde. Au début du film, Lui cherche l’Inspiration, sa femme, qui lui construit un environnement harmonieux et sécurisant, mais elle « emprisonne » jalousement son artiste qui, lui trouvera le déclic après la catastrophe de la destruction du cristal (son ancienne vie): du coup cette crise génère le rédaction de son oeuvre et ainsi l’enfantement d’Elle : c’est l’inspiration qui crée son oeuvre, son enfant! On lui prend le fils qu’elle a pour le sacrifier, comme un agneau. J’espère que cet article vous aura permis d’y voir un peu plus clair, et ainsi de vous faire votre propre opinion. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Mother! _ une épouse qui aide son mari à se sentir épanoui dans son environnement, qui se sacrifie pour lui. Quand un Homme la drague, il lui propose directement de sortir de la maison, « faire un tour » hors de leur relation. Ma critique sera en ligne la semaine prochaine et si cela te convient, je mettrai un lien vers ton article pour les personnes qui souhaitent une analyse plus détaillée . A titre personnel, je dois reconnaître que j’ai une préférence pour la dernière interprétation qui, au-delà d’être la plus subtile, est également la plus solide sur la longueur. Lorsque Dieu bannit Adam et Eve du jardin d’Eden, il voue Adam à une vie rude pour gagner son pain (peut-être est-ce pour cela que celui-ci est très souvent pris de quintes de toux dans le film) et Eve à un accouchement dans la douleur, d’où la vision d’un sexe féminin en sang. Bonne lecture ! Un point déjà souligné plus tôt par LA FEMME quand elle déclare à MOTHER qu’une mère donne tout à ses enfants mais que ce n’est jamais suffisant. Il livre un film qui est fait de telle manière, qu’on peut y voir plusieurs choses, interprétations, mais le fond qu’il cherche à nous communiquer, c’est qu’on y voit ce par quoi l’on est concerné, et que l’on ne devrait pas dissocier, ou opposer toute nos différentes visions, mais au contraire, les réunir, pour comprendre, et identifier, qu’en réalité on parle tous de la même chose, mais sous une forme différente. Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). Effectivement, en se rangeant à ce niveau de lecture, la plupart des plans qui composent le film ont du sens, en particulier le final. Malgré les avertissements sur l’évier, le Déluge survient. https://oblikon.net/analyses/mother-explications-du-film-et-de-la-fin “Mother” mélange se soufre à un autre élément : l’eau. Comment ne pas mettre J’ai rencontré le diable dans notre TOP 20 des films coréens indispensables. Ah, et, au fait… en dehors de » Attention la maison à brûlé… Brûle…. . Palmarès Devenir Réalisateur Film Festival, The call sur Netflix : explication de la fin, The Mandalorian Saison 2 : Explication et analyse de la série, Mon inconnue d'Hugo Gélin: analyse du film, Au revoir là-haut d'Albert Dupontel: analyse et explications, (500) days of Summer de Marc Webb: analyse et explications, Analyse de Little Joe par Jessica Hausner, Classements des films de Christopher Nolan : les meilleurs, les plus complexes, les mieux notés, Tenet : théories et explications du film de Christopher Nolan, The Old Guard : explication de la fin du film Netflix avec Charlize Theron, Umbrella Academy : explications de la fin, analyse de la série Netflix et théories pour la suite, Meilleures séries de 2020 sur Netflix et en streaming, Timeless : Rittenhouse, explication de la série et de sa fin, Annecy 2020: The Shaman Sorceress de Jae Huun Ahn (Corée du Sud). Pour le plus grand bonheur de LUI, qui retrouve soudainement l’inspiration. Voilà. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui lon doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! Vous pouvez avoir pl… Sauf que je voyais dans “Mother” la Vierge Marie car j’avais compris que “Le Poète” et elle n’avaient jamais essayé de concevoir un enfant. Nous vous conseillons évidemment d'avoir vu Mother! Elle met beaucoup de temps à la construire, seule d’ailleurs, par amour. Durant leur passage, plusieurs événements surviennent : la pierre précieuse est détruite, leurs fils rappliquent et s’entretuent, une cérémonie d’adieu a lieu dans la maison en présence de nombreux invités, une fissure ensanglantée apparaît dans le plancher, MOTHER semble souffrir d’un mal grandissant… Après leur départ, MOTHER et LUI font l’amour et la jeune femme tombe enceinte. On défend tous les mêmes valeurs, mais elles ne passeront jamais par les mêmes forme ou nomination, par rapport à la vie, l’éducation que l’on a eu. Si certains messages s’avèrent assez limpides, le cinéaste les surlignant en permanence, d’autres se révèlent en revanche plutôt confus, donnant l’impression d’être introduits sans véritable raison. Moi j’ai pas compris le truc bizarre plein de sang retrouvé dans les toilettes par Mother suite au passage de “Eve”.. Il faut aussi souligner que le réalisateur est en couple avec Jennifer Lawrence, ce film peut donc se voir comme un message personnel pour elle. . Mother ou Mère au Québec (hangeul : 마더 ; RR : Madeo) est un film dramatique sud-coréen écrit et réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009. L’intrigue, empreinte de noirceur, offre du suspense et de nombreux rebondissements. Les scènes chaotiques qui vont crescendo procèdent à l’instar d’un cauchemar dans lequel l’héroïne semble assister impuissante l’oeuvre de destruction alors qu’en réalité, non seulement il y a une part d’elle-même même dans chacun des personnages mais, en plus, elle peut reprendre le contrôle si sa conscience reprend le dessus. Ainsi, dans le long-métrage, la forme d’idolâtrie à l’égard du personnage de Javier Bardem peut être perçue comme une critique du fanatisme dangereux de certains fans pour leur artiste préféré. Si, comme le dit le réalisateur, “Mother” est mère nature, dans se cas j’aurais une théorie sur la fameuse poudre que “Mother” boit. (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) Cinéma Coréen, une liste de films par Zoreilfilm : Synopsis : Une veuve élève seule Do-joon, son fils unique, qui est sa seule raison d'être. Un jour le père disparait et la fille pense qu’il est allé voir son beau frère sur son île natale […] « Jésus ». C’est alors que se dévoile MOTHER (Jennifer Lawrence), une jeune femme sans enfant en couple avec LUI (Javier Bardem). Même si cela paraît niais, ce cristal / cet amour représente un espoir (vain ?) On revient à Hobbes et son l’homme est un zombie pour l’homme.Dans ce monde, l’enfer ne vient pas de l’espace (cf Skyline).Elle vient de l’autre qui n’est ni le Nazi (cf Inglourious basterds) ou le Nord-Coréen mais le semblable. Souvent destiné un public jeune, le cinéma coréen traite aussi de grands sujets de société et produit des films dur comme l'incontournable La relation entre Dieu et Mère-nature est doublée par cette relation entre le poète et son inspiration (c’est d’ailleurs explicitement dit dans le film). C’est elle qui a interdit à Adam et Eve d’aller dans le bureau. Cette analyse a été rédigée à chaud, après quelques échanges avec d'autres spectateurs.Il y a surement encore plein de choses à dire sur le film et vos contributions sont les bienvenues. Concrètement, que se passe-t-il ? Cet endroit est en effet à l’opposé du bureau qui représente le Paradis au dernier étage. Une autre Mother. Dans le même esprit, le dépérissement de MOTHER après avoir accouché, ainsi que la perte quasiment immédiate de son fils, est également une belle illustration de notre consommation/exploitation abusive de ressources. God impregnates Mother, who gives birth to the Messiah, who is followed by an increasingly chaotic communion and Revelations. est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. S’agit-il simplement d’un élément destiné à troubler le spectateur (après tout, ce ne serait pas le premier) ou se pourrait-il que MOTHER soit malade et souffre de visions/hallucinations (auquel cas cela pourrait remettre en cause l’ensemble du récit) ? Jennifer Lawrence est sa muse du moment. demeure selon moi bien trop flou sur le fond, au contraire par exemple de sa forme qui séduit pratiquement de bout en bout. Quelques arguments bonus : Mother brûle la maison avec le briquet qui avait été posé par le 1er invité (début de la perturbation du couple), briquet qui avait d’ailleurs été ingurgité par la maison, jusqu’à faire son chemin en son cœur. Excellent article et excellente analyse ! Chaque perturbation la détruit un peu plus. Actualités 11.12.2020 à 17h02. Le cristal donne cet espoir. . Un groupe de clandestins arrive en Corée en container. avant de parcourir cette analyse. Un poète est alors un dieu qui crée un univers. Comme si il avait écrit une histoire absolu, ou écrit une résolution d’une équation mathématique parfaite (à la Pi). Film asiatique : The Flu, Année : 2013. Impossible de le dire avec certitude malheureusement, mais quand on connaît la propension de Darren Aronofsky à traiter des troubles psychologiques dans ses films, on peut se dire que l’idée n’est pas complètement farfelue. L’enfant conçus étant bien une personnification de Jésus, j’avais peux de doutes sur la personne de Marie dans le rôle de “Mother”. Il y a un côté très sectaire autour du poète (Fanatisme) plus que religieux. Or, Mother ! Selon moi, Mother est la représentation féminine de Dieu. Facebook Twitter Pinterest Linked in Tumblr Reddit Facebook Messenger Copy URL. On ne sait alors pas encore s'il s'agit d'un retour en arrière dans le temps ou autre chose, mais on sent bien que quelque chose d'un peu spécial tourne autour de ce couple et cette maison. Article contenant des spoilers ! “I will never answer what Jen is drinking,” said Aronofsky. Autre chose, à plusieurs reprise, Mother ressent la vie de la maison, elle est presque capable de la voir brûler, sans-doute pour montrer les traces des précédents cycle ou pour montrer qu’elle connaît déjà la triste fin de chaque cycle. repousse encore un peu plus les limites puisque le long-métrage n’est finalement rien d’autre qu’une gigantesque allégorie. Dans le même ordre d’idée, on pourra aussi légitimement reprocher au réalisateur l’opacité de son film. La vie tranquille et la solitude sont interrompus lorsqu'un couple d'étrangers, "L'homme" et "La femme", débarque et s'installe dans leur maison. Pas besoin d’être croyant pour percevoir les symboliques bibliques. Mother est une telle allégorie de la vie que Aronofsky voit dieu/l’artiste en une seule personne et pense le processus créatif comme la construction complète d’un monde. Son film est sorti en salles depuis le mecredi 5 juin. Je suis assez d’accord avec votre analyse. Effectivement très bon commentaire de la part de tous, et le film apporte vraiment de bon débat, les cerveaux chauffent, et c’est ca le principale. Je suis d’accord avec vous sur le fait que le film exprime peut-être trop de choses en même temps et pas forcément de la bonne manière. Changer ). Et elle ne peut rien y faire, seul lui contrôle ces perturbations. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Mother a pour occupation principale la réhabilitation de la maison. Il met en tentation Adam en lui montrant le cristal. Jang Tae Yeong vit dans une société contrôlée par un monde souterrain. Mother! Watch Korean Drama genre from around the world subbed in over 100 different languages Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Or, elles existent bel et bien. Bien sûr tous les arguments si dessus pourraient être retournés vers un côté plus positif du personnage comme beaucoup le vois. _ en tant que Mère Nature, on voit qu’elle essaie de se protéger elle-même, elle voudrait garder la maison pour elle-même, mais elle se rend compte que la Planète appartient à tout le monde. L’amour (sous forme de louanges) qu’il reçoit pour son œuvre passe ainsi avant son amour pour sa femme. . Je vais vous faire par de ce que moi j’ai pu conclure de ce film. Une oeuvre d’art ne peut se concevoir sans contact avec d’autres hommes.A méditer! En deux films, "The Chaser" (2008) et "The Murderer" (2011), Kwak Do-Wong est devenu une valeur sûre du cinéma sud-coréen. Au détour de quelques séquences, nous apprenons que MOTHER a complètement réhabilité la maison après un incendie, tandis que LUI est un auteur à succès en panne d’inspiration. Journalistes et fans débarquent pour le féliciter mais les choses dégénèrent, entraînant l’apparition des forces de l’ordre. au milieu de la destruction. On a l’impression qu’il est satisfait de la situation alors que clairement tout vas mal. Quand le Poète laisse rentrer les autres dans la maison, le réal nous fait beaucoup ressentir l’invasion de l’espace privé de Mother, et sa perte de contrôle, sensations qui inondent tout le film : c’est le Poète qui délaisse leur relation (dès que la reconnaissance des autres le flatte), sans tenir compte de la détresse de Mother. Avec le recul, il est toutefo… C’est ce qu’exprime formidablement bien le personnage de LUI, un artiste égocentrique qui privilégie l’art à la vie. Il y a d’ailleurs un vrai parallèle à faire entre les réactions de la maison aux épreuves de MOTHER et les catastrophes naturelles qui affectent notre monde. Les invités surprise qui s’invitent dans la vie de l’artiste me semblent être des éléments croissants et chaotiques de la vraie vie exterieure qui envahissent la paisible structure mentale (la maison) de Lui. La phrase choc du film synthétise tout ça : tu pensais m’aimer, mais tu aimais mon amour pour toi. J’ai donc continué avec cette interprétation tout le long du film en essayant de faire des liens avec chaque action (même si certaines restent inexpliquées – comme le liquide jaune). Plutôt que de voir DIEU, on pourrai voir SATAN. Mother!, c’est le cycle infernal de la gestation. Un couple voit sa relation remise en question par l'arrivée d'invités imprévus, perturbant leur tranquillité. Ou plutôt de décryptage car le long-métrage demeure au final bien trop dense (dans ses thématiques par exemple) que pour se risquer à une explication catégorique. (Mais très attachants) « … Et : ils en ont de bonnes, hein ?… Bon, j’arrête ! Le réalisateur précise également que “Mother” ne peut être avec un être humain lambda, se qui peut laisser planer le doute si “le Poète” est DIEU ou le DIABLE, J’y vois pour ma part un paralellèle très clair avec la Bible, le fruit défendu, Cain et Abel, l’apocalypse, etc … Si vous relisez la bible, vous y verrez que Dieu est amour et pardon, comme Mother dans le film. (ou alors, comme un réalisateur…) La deuxième interprétation est celle d’un éveil à la sexualité/la luxure pour Mother. Si les pistes vous inspirent il y a encore des fils à tirer…. Ton interprétation a toutefois complètement sa place ici. Elle y est d’ailleurs directement connectée et « ressent » son pouls. Mais personnellement l’idée que “le Poète” soit la personnification du “DIABLE” me plait beaucoup plus que la personnification de “DIEU”. Lui (Javier Bardem) est auteur, un poète reconnu et en grande difficulté pour poursuivre son travail d'écriture. “Le Poète” ne demande que l’admiration des Hommes et les laissant faire les pires pêché ( Forte présence des 7 péchés capitaux). Puis, le recommencement avec une nouvelle femme… Sur la forme, on monte progressivement en intensité et en démesure, comme pour Requiem For A Dream, The Fountain et dans une moindre mesure Black Swan. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Suffisamment d’ailleurs que pour me donner envie de lui consacrer un article entier d’interprétation. Il a besoin de l’amour de “Mother”. Mais comme tu l’as dit, le film mérite qu’on s’y attarde même s’il n’est pas exempt de défauts. « Ils nous tuent dans le commerce, vous savez, puis ils remportent l’Oscar pour un film flippant ! Sur le fond, on pense surtout au propos abstrait et allégorique de The Fountain. Le film s’ouvre par les plans d’une personne (probablement une femme) en train de brûler, puis par la pose d’une pierre précieuse sur un socle. ou Mère ! Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. La maison renait de ses cendres et dans le lit, une jeune femme se réveille, une jeune femme avec un autre visage. Ce n’est pas un facteur déterminant dans la cohérence d’un projet je trouve. _ un poète qui sèche pendant longtemps dans le film, stérilité que l’on peut relier à des réticences à être père, comme s’il n’assumait pas complètement les responsabilités que cela implique. Régulièrement à Cannes toutes sections confondues, le Coréen Bong Joon-Ho a remporté la Palme d'or samedi 26 mai avec "Parasite". Comme un écrivain plus préoccupé par le regard de ses lecteurs que par son oeuvre. La première est tirée de la Genèse (premier livre de l’Ancien Testament dans la Bible). Au final Aronofsky écrit un film relatant le mécanisme, la fondation et la structure universelle, sur laquelle la vie de chacun va pouvoir y être projeter, que c soit du vécu réel, du fantasme, de l’art, tout peut être incruster dans cette seule et unique histoire, dont la forme ne changera pas. Pas de problème pour partager le lien à la suite de ta critique sinon (j’ai hâte de la lire au passage). Trois ans après le "blockbuster" religieux Noé, Darren Aronofsky est de retour avec un film plus personnel, Mother!, porté par une sacré brochette de comédiens : Jennifer Lawrence et Javier Bardem dans les rôles principaux, mais aussi Ed Harris, Michelle Pfeiffer, Brian et Domhnall Gleeson et Kristen Wiig. Comme tu le dis, Mother est une telle allégorie que le propos du réalisateur sur bon nombre de points reste très flou. Bref, si l’on ajouté les autres lectures proposées… qui sont également des plus pertinentes , .. C’est une « Oeuvré » à l’image de l’ambition du réalisateur,.. Un peu trop ambitieuse dans doute… Trop fourre-tout… Et, franchement, beaucoup trop prévisible à mon sens à bien des égards. C’est presque pour moi, une histoire, qui les vaut toute, un anneau pour les gouverner tous, le un, qui contient le tout, et se divise par le reflet de ce que les gens vont vouloir y greffer dessus, mais toujours avec la fondation d’origine. Critique et bande-annonce VOST de I AM MOTHER avec Clara Rugaard, Hilary Swank et Rose Byrne, disponible sur Netflix le 7 juin 2019. Tout d’abord merci pour la critique, Cela pourrai éventuellement signifier que nous les hommes, nous nous rendons compte qu’on detruit la nature (construction d’immeuble, destruction de forêt etc) mais qu’on agit pas. Page 5 : La parole à l'une de nos lectrice, et psychologue ! Réalisé par Grant Sputore, le film bénéficie d'un casting talentueux avec la jeune Clara Rugaard-Larsen, Hilary Swank et même Rose Byrne pour la voix du robot "Mother" / Mère. Il a besoin de l’amour créateur de Dieu pour pouvoir faire le mal. Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. Pour rappel : SPOILER ALERTE, Mother!, c’est l’histoire d’un couple qui mène une vie pépère dans une baraque paumée. Je développe : Elle passe sa vie dans une pièce dont la tapisserie évoque le ciel, et elle essaye de représenter quelque chose qui pourrait évoquer des ailes d’ange.