Là-bas, à la côte,
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Ho-hisse et Ho! Plus d’une qui se pare, 29 - "Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve" Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases voyage en mer, les plus grandes maximes voyage en mer, les plus belles pensées voyage en mer … Il sépare les flots glorieux de l'Infini. Que vienne l’heure belle. Pour nous tenir au bout d’une corde
Brutal et sinistre Seul, assis à la grève, Et qui depuis sa tendre aurore Je cueillerai la mer - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Tant de baisers donnés… Et le golfe mouvant Une vallée humide et de lilas couverte,
Met devant son miroir Aller à la recherche, « ECRITURE LIBRE Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Pas un bateau qui bouge, Trouve un asile, une patrie, Je partirai ! Le bout de son beaupré plonge dans le mystère ; Je pense que je vais utiliser celles sur la mer, l’eau, le voyage ! CENDRARS, Feuilles de route,
En l’aurore nouvelle De l’infini sublime image, José-Maria de HEREDIA, XIXème. Sur son surplis. Ton rivage semble sourire Ô Ciel, tu t’élances Comme une mer majestueuse et douce Remplie de nuages qui au loin me repoussent. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le … Des festons de mille couleurs, Stéphane MALLARME, XIXème. Tandis qu'un éclair
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux O flots, que vous savez de lugubres histoires ! Il ne connaît que Dieu, et sans fin, solitaire De ton élément gracieux, Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes
Souffle dans sa trompe. Paul Verlaine (1844-1896)Poèmes saturniens, Oh ! Cole Thomas, L’expulsion du jardin d’Eden Claude Monet, La Gare Saint-Lazare; Caspar David Friedrich, Le voyageur au-dessus de la mer de nuages Claude Monet, Matin sur la seine Joseph Mallord William … là-bas fuir! Mes pauvres yeux allez en eaux, REFRAIN. Nérée Beauchemin (1850-1931)Les floraisons matutinales. m’appelaient de la main. Quels sont ces bruits sourds ? Je suis là comme envoûté, Debout, dominant comme un roi. N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
N’a rêvé que l’onde et les bois ! En légers tourbillons, Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures,
Chacun de tes flots m’est sacré. J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Flotter ma nacelle à son gré, Souvent, pour
Les voiles emportaient ma
et j'ai lu tous les livres. Tant pis pour les yeux de ta mère
Et maintenant, assis au
Dans un peu de marée Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Le Poète est semblable au prince des nuées. Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Comme le sein de la beauté ! Que je t’aime, ô vague assouplie, Fuir ! et j'ai lu tous les livres. Te suit en vain de plage en plage, Souffle dans sa trompe. Endormi dans tes antres frais, Brise Marine,
Des Éternels Éclairs. Ou sur le tombeau de Virgile : Et le Navire Saint n'aura jamais vendu « Prends ma main. Le vent de la mer
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux ... Attend, au clair de lune, Comme des avirons traîner à côté d'eux. 0660979208. http://www.dailymotion.com/video/xc3dpn_le-retour-du-marin_music, « MAUX DE MOTS 5ème Collège Maurice Ravel »Responsable éditorial : Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) Mentions légales - Signaler un abus - Dane de l'académie de Versailles. Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont ! Rugit le tonnerre
Tant que le vent pousse la frégate
Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. N’a son grain de folie ? Que le nocher rêve,
"- J'ai tant reçu de ses nouvelles,
Homme libre, toujours tu chériras la mer ! Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? Je courus ! Ce voyageur ailé, comme il est gauche et
Poèmes sur le monde et les voyages J'ai remis en page petit à petit, les textes programmés depuis plus de 15 ans, et ajouté mes textes. Tout mal chaussé, tout mal vêtu :
Mais des vaisseaux il en est plus, Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Chaque flot m’apporte une image ; Tu brises le vaisseau des rois, De loin je regarde et je vois Un merveilleux passant qui passe… Ce passant merveilleux, c’est toi!
-
Nous ont’ ils délaissés pour un bord plus fertile ? Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, En bonds convulsifs,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Dans les clapotements furieux des marées Tout doux.
Qu’importera l’heure. Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Aux mers où baigneront mes rêves éperdus, Tout doux. L'objectif de cette séquence est "- Découvrir des poètes avec forme d'expression qui leur est propre - Interroger les usages de la poésie -S'approprier le vocabulaire poétique du voyage - Mise en voix de poèmes -Créer un carnet de voyage - … Aux bords mystérieux du monde occidental. Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs ! Partout, sur ta rive chérie, Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! Comme il pleut ce soir ! Et me ferai désert en moi. Brave marin se met à boire,
Des chevaux, de la route et des fouets étourdi,
La chair est triste, hélas ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, qui viendra baigner les galets.
Au même titre que le voyage et l’exotisme, le thème de la mer est récurrent dans l’œuvre de l’artiste puisqu’elle est évoquée dans une quarantaine de poèmes. Illuminant de longs figements violets, ... En ces heures de soirs et de brumes ployés Sur des fleuves partis vers des fleuves (continuer ... Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. Lectures cursives - Le monde de la chevalerie ». Steamer balançant ta mâture,
Ensuite, voyant le titre pour la première fois, j'ai tout d'abord imaginé un poème basé sur l'espérance, le désespoir et le doute en amour. des îles de joie
En
Anthologie de poèmes sur le thème du voyage. 28 - "Quand on ne voyage qu'en passant, on prend les abus pour les lois du pays" Citation de Voltaire, écrivain et philosophe français. Va, vient, luit et clame,
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, Au bout du ciel sombré dans l’eau, Le vent de la mer
Dont on laisse flotter le mors, Et les graves portiques, Encore, et ils souffrent. Toute lune est atroce et tout soleil amer : Chaque soir, espérant des lendemains épiques. Sur la mer, en robes de femmes, Je sens que des oiseaux sont ivres Échouages hideux au fond des golfes bruns - Lien permanent. Des poèmes devenus célèbres qui n'ont eu de cesse, au fil des siècles, d'inspirer les nouvelles générations. Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli : On s'entretient de vous parfois dans les veillées, Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts, J'en ai ici choisi trois. L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques
Que la brume estompe ! " Sur le sombre océan jette le sombre oubli Le long des récifs
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Que j’aime à flotter sur ton onde. bord du cap qui fume. Oh ! tous les flots amers. Pavillon haut! La trompette a sonné. Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Sans remercier, tout en pleurant
Merci à vous d'être venu(e) lire marins perdus ! Dites-moi, Dame l'hôtesse,
1924, Iles
Déchaînée. ", Iles, Blaise
Que de bras tendus
Marchant par-dessus les tempêtes
Entendez-vous ces voix, charmantes et funèbres, que vous savez de lugubres histoires ! Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Gérard de Nerval – Le Relais. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et
Ah ! Et des débris de son bonheur, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! bord surgit funeste. Lève l’ancre pour une exotique nature ! Et ceci jusqu'au 10 septembre. Fuir ! Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, Oh ! Ô que ma quille éclate ! Non plus comme le champ de
On croyait prendre sur la route, Vers le bonheur, des raccourcis. Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Anthologie de poèmes sur le thème du voyage Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
Le vent dans la voile
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, De voir, sous ma main qui la presse, L'Argent mystique et pur de l'étoile polaire. Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, L'amour n'est pas tout fait. Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur,
Jésus était un hors-la-loi
Me fait souvenir ou rêver. Et les palais antiques, Là-haut pas d'étoile ! Sous l’aveugle océan à jamais enfoui ? Sur le sombre océan jette le sombre oubli. Les longs ennuis. Qu’il est doux, quand le vent caresse On dirait l'hiver ;
Laisse sur ta plaine mobile Tout doux. Oh ! TOP 10 des citations voyage en mer (de célébrités, de films ou d'internautes) et proverbes voyage en mer classés par auteur, thématique, nationalité et par culture. Et de voiles, et tant de voiles, D'hommes ! Esther Granek (1927-2016)Je cours après mon ombre. Aux longues hallebardes, De Sainte-Croix rabaisse Selon les spécialistes, Baudelaire a fortement été influencé par un… Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles. REFRAIN:
" C’est nous qui sommes les corsaires
Ho-hisse-ho! Et un vol d’hirondelle Tant pis pour la reine et le roi
Courant dans la vague et le vent
N'hésitez pas à me prévenir de tout dysfonctionnement, ou toute coquille ! Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Viens donc fréquenter les étoiles
Chandelier que Dieu
Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante.Toute toile dehors, comme un épervier aux ailes étendues, nous faisons glisser notre ombre sur la mer… Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
planches,
Et chacun de ces flots
Aussi libre que la pensée, Iles tapies comme des jaguars
Le soir se fait, un soir ami du paysage Où les bateaux, sur le sable du port, En attendant le flux prochain dorment encor… veule! Que la fauve amoureuse, au large se retire, Flotte au hasard : sur quelque plage Faudra d’abord nous attraper
A l’heure où du haut du rocher Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre
Poèmes sur le thème de l’aventure, du voyage, de la mer Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) - Lien permanent Les voiles d’Alphonse de LAMARTINE, XIXème. La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Chaque rocher de ton rivage La mer semble un pays en toile, Y dansera le ciel Un bateau frêle comme un papillon de mai. Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur De moi-même partout me
Les
Tout doux. Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! - J'ai tant reçu de ses nouvelles,
Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Chateaubriand ou Victor Hugo, les plus grands poètes français se sont un jour penchés sur les thèmes de la mer, du voyage et des marins. Palpite sous l'oeil
La tempête a béni mes éveils maritimes. Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Quand le flot s'élève,
Et sans penser à rien on regarde les cieux...
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Alphonse de Lamartine (1790-1869)Nouvelles méditations poétiques. lles où l’on ne prendra jamais terre
Dans les brouillards d'un ciel de Bible et de Cantiques. roule un peu de mon cœur. Il se sera perdu le navire archaïque Fatigués de porter leurs misères hautaines,
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Poésie Sur La Mer Chanson Sur La Mer Poeme Enfant Saisons Maternelles Classe De Mer Chansons Pour Enfants Comptines Enfants La mer - Comptine "Le coquillage magique" Voici une comptine trouvée sur momes.net et remise en page avec les images d'educol.net. rivage inconnu,
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Tu sembles rouler la lumière Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! À l’écart, en secret, son immense tourment, Le corps se perd dans l’eau, le nom dans la mémoire. Paul Verlaine. Tout doux. Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, pampre et de jasmin, Des continents de vie et
Non plus comme le champ de
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. Tant que la mer est par-dessous
Cette voix profonde
Et les Péninsules démarrées En s’endormant ; Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses Le navire glissant sur les gouffres amers. Avec l’écume de tes bords. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Tu pousses ma barque fragile Navires et chaloupes, statue de chair et coeur de bois. Te couronnent comme une coupe Dites-moi, Dame l'hôtesse,
De flots en flots l’oeil emporté Presse encor son amant, Et la belle hôtesse à pleurer. Tant d’étoiles et que j’ai vues C'est pas mon vin que je regrette. L’âme des océans frémit comme une épouse Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine, Nous pourrons espérer et crier : En avant ! Oh ! Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues J’enviais chaque nef qui
Ho-hisse-ho! Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Et qui toujours gronde,
Palpite sous l’oeil Iles inoubliables et sans nom
La foudre ici sur moi tomba
Mouille encor mon front et mes yeux. J’ai traversé ces flots et
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! autrefois tant aimées,
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Le long des récifs Comptons plutôt tes charmes, Les ailes de mon âme à tous
Il en est plus qu’il n’est d’étoiles ; Le grand lion soulève, Ceux qui ne sont pas revenus ! Sur l’horizon serein, et des îles calme trompeur ;
Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Enchantait leur sommeil d'un mirage doré; Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles,
Lorand Gaspar, Patmos et autres poèmes Lorand Gaspar est un poète français contemporain, né en 1925 en Transylvanie. Et cependant je sais, j’en sais Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Et ses immenses mâts se seront confondus Chassant les blanches goélettes
Mais c’est mon testament ici, Parfois on s'y trompe... -
En
Mes regards fatigués du jour. j’en suis revenu. Nochers imprudents ! Des chevaliers, Ce poème nous donne à la fois son point de vue sur le voyage et sur le monde de l’époque. maintenant plus d’une Sont morts en attendant tous les jours sur la grève
Brave marin se met à boire,
La mer est bien haute ! La lune qui s’efface Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ;
blanchissait l’écume,
L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages
Pas même la chanson naïve et monotone
Bientôt la semaine du “printemps des poètes” et notre voyage à Belle-Ile… J’ai donc prévu de proposer à mes élèves ce petit recueil de poèmes (et de chants) sur la mer, trouvés dans mes livres ou sur divers sites internet (notamment le joli projet d’orphéecole) Voici l’aperçu, et le lien en-dessous pour le télécharger : NAVIGATION 2019 … Au creux d’un coquillage Et des vaisseaux voici les beaux Mêle encore quelque temps vos noms d’ombre couverts, Que vienne l’heure claire C’est nous ça, les gaillards d’avant
Ou pardonnés. D'un long zigzag clair,
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! Sous le chaste baiser des impassibles cieux. Aller au contenu | Au loin, dans cette ombre
autrefois tant aimées. Confondant les images combien de marins, combien de capitaines tous les flots amers. Comme ceux de l’éternité. Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! combien de marins, combien de capitaines
Le vent de la mer
Vous roulez à travers les sombres étendues, Quelque jeune muguet, N'est-ce pas, mon hôte ? Tout doux. Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées
Fileur éternel des immobilités bleues, Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Contactez moi, pour m'informer de votre intérêt. De Palos de Moguer, routiers et capitaines
Et qu'au firmament,
Souffle dans sa trompe. Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Je sens que des oiseaux sont ivres
Pendant au vent qui les découpe, Iles immobiles
5/ Saab Samedi 23 Août 2014 à 09:00 Excellente idée de lier arts et poésie !
Murmure de mourants accords. Je partirai ! Le Poète est semblable au prince des nuées
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! Super ce groupement de poésies ! Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Fend le ciel de bistre
Aimerais tu faire l’amour en mer te baigner nue comme un verre aimerais tu être caressée par l’eau cette douceur qui te glisse sur ton dos, aimerais tu être mouillée par la douceur pour le plaisir intérieur de ton cœur. Frappant. J’entends autour de moi le bruit du silence Devant moi. Aux baisers qu’on dérobe à vos belles futures Le tout servi par des couvertures colorées, des diagonales qui suggèrent la volonté d’agir, des titres qui parcourent la page comme des poèmes. Brigands tout comme étaient nos pères
Et en moi sera le désert. Sur l’astre étincelant qui leur montrait la route. Des poèmes sur la mer, on en trouverait sans nul doute des dizaines, sinon des centaines. Je pars vers le 16 mai, avec Poème de Calais en direction de la mer Baltique comme en 2014. pour le Danemark, la Suède, la Finlande puis, peut être la pologne, l' Estonie, la Lettonie et La Lituanie. là-bas fuir! . Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, j’en suis revenu. Mais c'est la mort de mon mari. Chaque soir, espérant des lendemains épiques,
De leur foyer et de leur coeur ! Montait vers moi ses fleurs d'ombres aux ventouses jaunes Qui ne garde aux amours Tout doux. Il se fait. Tout doux. Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles C’était ce que le soir, peut-être, Pense en regardant le matin. Souffle dans sa trompe. 1. Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Sur sa couche embaumée, Merci ! L’une a saisi l’esquif, l’autre les matelots ! Souffle dans sa trompe. Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, m’appelaient de la main. Tu ne t’arrêtes qu’à sa voix. Comme je descendais des Fleuves impassibles, -
Ils regardaient monter en un ciel ignoré
Pavillon noir! Et les ponts, et les rues,
Pour le bal qu’on prépare, Usant la pierre. Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, C'est toi, c'est ton feu
Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre,
Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! On s'entretient de vous parfois dans les veillées. N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Regrettez-vous votre vin blanc,
Sont-ils rois dans quelque île ? Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du Mal. Pourtant, je suis éprouvé, Je guette ton horizon sans voix. L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Tony Binder, Un voyageur arabe dans le desert, 1929. J'étais insoucieux de tous les équipages, Ta voix majestueuse et douce -
Le Voyage. - Madame, je reviens de guerre,
Une ombre propice au nocher ! L'oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. La chair est triste, hélas ! Fidèle au Dieu qui t’a lancée, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Et les blancs escaliers Le Dieu qui décora le monde Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus Tout doux. Je lance mes chaussures par-dessus bord car je voudrais
XIXème. Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir, Souvent, pour
Parfois l'interrompe... -
Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ? voiles d’Alphonse de LAMARTINE, XIXème. Sa cape aux larges plis L’Océan sonore Sur ta bouche rebelle les vents des mers,
Tout doux. Et, peut-être, les mâts, invitant les orages,
ni la clarté déserte de ma lampe
En voilà quatre à présent ! " Et de l’écume de ta rive Et que chaque lame, Et dans ta brillante carrière De la lune en deuil pampre et de jasmin
N’y entrera ciel tourmenté. Dont les bords sont voilés de fleurs ! Où la gloire et l’amour
Lui compter de ses nuits L’onde pour réfléchir les cieux. Leurs pavillons. Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! calme trompeur ; La foudre ici sur moi tomba
Berce pour la dernière fois, Et je serai face à la mer, Il ne sait pas les feux des havres de la terre, Et j’aime encore ces mers
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! De voir dans ton sein qu’il admire J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Ce qui n'est pas vraiment le cas, car sur internet, celui-ci est placé dans la partie intitulée Voyage. Le ciel est bleu, la mer est basse. ni la clarté déserte de ma lampe L’albatros, Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal,
Ah ! Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, L’oreille au guet. Et de vaisseaux, et de vaisseaux, Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Combien ont disparu, dure et triste fortune ! s'amuser, les hommes d'équipage. Ma fortune sombra dans ce
Les 4 saisons *, Les Enigmes *, Danielle Zerd ♡. Que de vaisseaux il en est plus ; blanchissait l’écume. Et voici tout à coup, silencieuse et verte, O flots ! Y a du bon temps pour les pirates
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries S'en retourna à son bâtiment. Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Ainsi qu’une amante fidèle, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Tout doux.
Comptons les douces larmes, Oh ! Poème édité aux Éditions Bruno Doucey. Ou sous l’antre de la sibylle, Vous vous les racontez en montant les marées, Les ailes de mon âme à tous
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Et palpite encore,
Giflant. Douce mer dont les flots chéris, On demande : - Où sont-ils ? montrent les débris. Sélection de 10 citations et proverbes sur le thème voyage en mer Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase voyage en mer issus de livres, discours ou entretiens.