Quelques mois seulement après la sortie d'Adolescentes sur grand écran, le réalisateur Sébastien Lifshitz nous livre son nouveau documentaire, qui débarque cette fois directement à la télévision. La mère ,si elle est jouée, c’est elle! En tout cas un portrait bouleversant de cette mère combative prête pour sa vie entière et une petite fille totalement fragile et sûre d’elle. sasha , bravo. Sasha souffre, intériorise comme elle peut, face à elle, ses parents se démènent et ne s’avouent pas vaincus pour autant, afin de faire reconnaître leur enfant en tant que tel. Bravo à Mr Lifshitz!! Le beau parcours de Sébastien Lifshitz dans le genre du documentaire avait commencé en 2001 avec La Traversée. Joe Taslim, Josh Lawson, Contact | Revue de presse | Sans qu'on nous offre l'espace pour un peu de finesse, de retenue, de dissensus. Date de naissance : 2019 Type : diffusion sur Arte (dispo sur ArteVOD) « Petite fille », le documentaire de Sébastien Lifshitz, raconte l’histoire de Sasha, une enfant transgenre de huit ans. Taille : 1h25 / Poids : NC Cet été, le documentariste nous avait cueilli avec Adolescentes, sublime portrait croisé de deux ados de leurs 13 à leurs 18 ans. Le père absent et cette énorme symbiose . Avoir voulu rendre leur enfant heureux en le soulageant d’une peine qui le dévorait de l’intérieur depuis ses premières années. Genre : Documentaire. Assez inquiétant de voir comment tout est simplifié et vite orienté vers la question du changement de sexe. En effet les petites filles donnent rarement ( voire jamais) le rôle d’ « âme-sœur » a leur mère dans ce jeu. "Petite Fille" n'est pas un documentaire militant, mais il évoque les nombreux problèmes de société [...] Petite Fille n'est pas un reportage journalistique, mais du cinéma. "L'humain est contraint, il ne peut pas tout" : la tribune de pédiatres et psychiatres sur le documentaire "Petite fille" Tribune. Définitivement, Sébastien Lifshitz est un magicien. Je m’interroge, la psychanalyse et la psychologie ... différences ... Your browser either doesn't support Javascript or you have it turned off. Critique Petite fille : un combat d’un nouveau genre By Mélina Hoffmann 25 novembre 2020 Aucun commentaire Petite fille est un film documentaire bouleversant qui suit le quotidien de Sacha, né garçon, qui se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. Le voilà de retour avec un autre documentaire qui s’intéresse cette fois-ci, à un sujet qui fait de plus en plus la une de l’actualité, à savoir la « dysphorie de genre » (un terme scientifique pour désigner la transidentité). AU NOM DE MA FILLE NOTRE AVIS SUR PETITE FILLE. Musique, Cinéma, Séries, Fashion et Pop Culture. Lire ses 6 052 critiques, Suivre son activité Magnifiques film et famille qui rehaussent pour moi le niveau de l’humanité; une histoire vraie pleine de délicatesse, de sensibilité, d’intelligence et de force chez cette petite fille. Petite Fille, de Sébastien Lifshitz, visible sur Arte, montre une année scolaire dans la vie de Sasha et le combat de ses parents pour que sa transidentité soit reconnue. Poursuis ton chemin sans te décourager, malgré toutes les difficultés que tu pourras rencontrer et crois-moi tu rencontreras sur ta route beaucoup de personnes qui t’aimeront. Fanny Liatard, Jérémy Trouilh, Avec Pressé de bien faire, au point qu'il écarte toute nuance, tout doute, et nous embarque dans une démonstration lourdingue (gros plans sur les accessoires "de fille", musiques insistantes, scènes répétitves, etc.). Oui très beau sujet, Sasha et sa famille son très touchants de sincérité, d’amour et d’envie de vivre tout simplement. « Les enfants sont cruels », paraît-il. Merci d’avoir partagé cela. La critique du livre "Fille" de Camille Laurens, roman de la rentrée littéraire 2020, un récit sur le fait d'être une fille et d'avoir une fille. Lire ses 1 298 critiques, Suivre son activité Quelqu'un l'a dit à l'enfant ? Signes particuliers : Magnifique, tout simplement. Notre critique du documentaire "Petite Fille" réalisé par Sébastien Lifshitz, disponible le 2 décembre sur Arte. Des images proches du cinéma d’auteur, des lumières et une intimité avec toutes ces merveilleuses personnes qui entour Sasha. ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄. On débranche la raison et on se laisse embarquer du côté des "gentils". Sasha, née garçon, est une petite fille que sa famille va soutenir dans sa différence. Qu’a fait Sasha pour mériter ça ? Fin 2020, son documentaire “Petite fille”, diffusé sur Arte et racontant le parcours d’une petite fille trans de 7 ans avait été salué par la critique. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). " Son crédo à lui, ce n’est pas le combat porteur mais l’intime qui dévoile, c’est savoir être toujours là où il faut quand il faut, savoir capter le plan qui dit tout et même plus encore. Quelques mois seulement après la sortie d'Adolescentes sur grand écran, le réalisateur Sébastien Lifshitz nous livre son nouveau documentaire, qui débarque cette fois directement à la télévision. : Les anecdotes de cinéma, LES COULISSES DU CINÉMA n°344 : Sur les tournages de films et en dehors, JEU_CONCOURS « LUCKY DAY » : gagnez votre Blu-ray ou DVD du film, THE CRAFT - LES NOUVELLES SORCIÈRES de Zoe Lister-Jones : la critique du film, PENINSULA de Sang-ho Yeon : la critique du film [festival de Deauville], MISS de Ruben Alves : la critique du film, ADIEU LES CONS d'Albert Dupontel : la critique du film, ANTOINETTE DANS LES CÉVENNES de Caroline Vignal : la critique du film, PARENTS D'ELEVES de Noémie Saglio : la critique du film, THE GOOD CRIMINAL de Mark Williams : la critique du film, 30 JOURS MAX de Tarek Boudali : la critique du film, DRUNK de Thomas Vinterberg : la critique du film, L’HOMME QUI A TUE HITLER ET PUIS LE BIGFOOT de Robert D. Krzykowski : la critique du film, PALM SPRINGS de Max Barbakow : la critique du film [Amazon Prime], THE TAX COLLECTOR de David Ayer : la critique du film [VOD], LUX ÆTERNA de Gaspar Noé : la critique du film, VANGUARD de Stanley Tong : la critique du film, PIECES OF A WOMAN de Kornél Mundruczó : la critique du film [Netflix], LE BONHEUR DES UNS de Daniel Cohen : la critique du film [DVD], SOUL de Pete Docter : la critique du film, A propos / Nous contacter / Politique de confidentialité. 285 abonnés Née dans un corps de garçon, elle sent dès son plus jeune âge (depuis qu’elle a 3ans) que son plus grand désire est d’être une fille. Juste pour préciser : l’Education Nationale n’est pas en cause dans cette situation-ci, la gamine allait dans une école privée. Père : Sébastien Lifshitz Un petit film qualitatif qui sensibilise bien à certains problèmes que les personnes transgenres peuvent rencontrer (l'inacceptation et les préjugés, notamment). Qu’ont-ils pour affronter l’adversité ? On aime interpréter cela à notre façon, comme si Sasha était enfermée dans sa chrysalide et qu’elle allait enfin éclore et s’épanouir. Déjà un, c’est pas mal mais alors deux… Pourtant, aussi improbable que cela puisse paraître, c’est l’exploit réalisé par Sébastian Lifshitz. Magnifique film/reportage, très émouvant. PETITE FILLE (Critique) Par Brice Connan le décembre 2, 2020 • ( 1 commentaire ) SYNOPSIS: Sasha, né garçon, se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. Sébastien Lifshitz a suivi pendant un an le parcours du combattant de Sasha et surtout, de ses parents, face à un corps enseignant strictement fermé (avec des œillères et ne voulant rien entendre). Ex. La rigidité d’une société ultra-codifiée, un corps enseignant qui ne comprend pas (ou qui fait très bien semblant de ne pas comprendre pour ne pas s’emmerder la vie), des regards moqueurs, un conservatoire de danse qui fait éhontément dans la transphobie, voilà à quoi Sasha (8 ans – on le rappelle) a dû faire face. Film de Sébastien Lifshitz avec : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. De https://www.allocine.fr/film/fichefilm-281035/critiques/presse MERCI MERCI. La vie de Sasha est simplement montrée, et ne peut entraîner aucun débat tellement l'exposition des faits est objective et factuelle. Simon McQuoid, avec le chemin sera long ,mais avec ton courage et l'aide admirable des tiens tu y arriveras. Intitulé Petite Fille, celui-ci traite de la transgenralité à travers le portrait de Sasha, un enfant né garçon mais vivant comme une petite fille depuis l’âge de trois… Quelques mois seulement après le splendide « Adolescentes », Sébastien Lifshitz revient avec le portrait de Sasha, né garçon et pourtant « petite fille ». «Petite fille» est quant à lui directement diffusé sur Arte qui, d'ailleurs, le met déjà à disposition sur Internet. Sébastien Lifshitz (Les Invisibles - 2012) nous offre là un magnifique documentaire, ô combien bouleversant. (ceux qui 'enseignent' a nos enfants)!!!!!! Mon dieu, quel crime abject !! Sasha, née garçon, est une petite fille que sa famille va soutenir dans sa différence. Belle réalisation. Je pense bien à vous tous. Vladimir Orlowski, Par les membres ayant fait le plus de critiques, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Les performers de l'Academie Fu Hsing de Taipeh, Derision et devotion dans la tradition dramatique, Mortal Kombat Bande-annonce non censurée VF, Detective Conan: The Scarlet Bullet Teaser VO. PETITE FILLE (Critique) Par Brice Connan le décembre 2, 2020 • ( 1 commentaire ) SYNOPSIS: Sasha, né garçon, se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. Courageuse et intraitable, Karine, la mère de Sasha, mène une lutte sans relâche portée par un amour inconditionnel pour son enfant. Elle a gagné son combat pour cette rentrée à l’école. D’un autre côté, ce film me semble très « éducatif ». Les services AlloCiné | « Engagée » car il a toujours quelque chose à dire et à défendre au-delà de son sujet spécifique. Critique : Petite fille par Fabien Lemercier 22/02/2020 - BERLINALE 2020 : Poignant et édifiant, le documentaire de Sébastien Lifshitz lève le voile avec délicatesse sur une lutte contre les rigidités des normes sociales face à la question du genre Genre : Documentaire Nationalité : Français Durée : 1h25min Synopsis: Sasha, né garçon, se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. Prolongeant son exploration des marges sexuelles et identitaires, depuis Wilde Side ou Bambi, mais aussi son approche de la jeunesse, avec son récent film Adolescentes, le cinéaste Sébastien Lifshitz concentre son attention dans Petite fille sur l’expérience d’une enfant de sept ans, touchée par le dysphorie de genre. "Petite Fille" de Sébastien Lifshitz. Préférences cookies | Lire ses 3 627 critiques, Suivre son activité Ce que l’autre petite fille refuse d’emblée, «  non, ta sœur » . Carte d’identité : - Le Dauphiné Libéré sur Dailymotion Document très intéressant mais qui toutefois m a interpellé par l attitude de la mère qui répond à la place de l enfant et qui continue à l infantiliser ( biberon en particulier ) comme si l enfant ne voulait pas grandir par rapport à son plus jeune frère dont on fait peu cas jusqu à ne pas l écouter quand il veut s exprimer ... peut être Sasha va dans l exagération pour devenir une sorte de star ... d être number One vis à vis de sa mère ... du coup je me pose la question du vrai ressenti de l'enfant . Et non prendre sa place. Petite fille : Toutes les informations de diffusion, les bandes-annonces, les photos et rediffusions de Petite fille avec Télé 7 Jours ... La critique de Télé 7 777. J'ai tellement été sinon révoltée du moins très mal à l’aise par la façon d’être de la mère que ça m’a gâché le reportage. Si on tend un peu l'oreille, si on ne se satisfait pas de la parole d'une psychiatre pressée et finalement peu délicate (la médicalisation de la question du genre en France est dénoncée par plusieurs instances internationales). Mais je suis toute prête à me tromper. Ce n’est bien entendu pas une chose discutable. Petite fille de Sébastien Lifshitz - (2020) - Recrutement | Le dernier plan du film nous dévoile une Sasha sereine, habillée d’une jupe violette avec des ailes de papillon dans le dos. Sasha souhaite donner à sa poupée une «  amie-sœur » en la personne de la maman. Le film suit sa vie au quotidien, le questionnement de ses parents, de ses frères et sœur, tout comme le combat incessant que sa famille doit mener pour faire comprendre sa différence. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Ça paraît innocent ? Or Sasha, non. Après Adolescentes sorti en septembre dernier, Sébastien Lifshitz montre une fois de plus qu’il est maître en la matière avec Petite fille, film remarqué lors de la dernière Berlinale et … Ce doit être dur pour un enfant de ne pas comprendre pourquoi c’est si difficile à comprendre pour les autres. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec Le propos de Petite fille n'est pas militant. Puissant, dévastateur et imparable (prévoyez 2-3 paquets de mouchoirs tant les 1h22 du film sont un concentré d’émotions très intenses), Petite Fille est une merveille de tendresse, un petit portrait sur un petit boutchou dont la grandeur n’en finit plus d’émouvoir. On voudrait crier notre colère aussi à ce directeur d’école qui a finalement accepté Sasha comme elle était, mais qui ne voulait rien entendre ni rien comprendre…Quelle image déplorable de l’Education Nationale dont le rôle est aussi de protéger et d’accepter un enfant tel qu’il est!! Publicité | Mais voilà, nous sommes en 2020 et le rejet de la différence et de ce que l’on ne comprend pas est toujours une réalité quotidienne contre laquelle il faut lutter. Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité C’est tout le mal qu’on lui souhaite. Filmé avec pudeur et qui aborde un sujet encore mal connu dans notre société. Tu as la chance d’avoir une famille AIMANTE et unie et cela est indispensable pour t’accompagner. On sent à quel point elle est aimée et soutenu par tous les membres de sa famille, un cocon d’amour protecteur dont elle aura bien besoin car son combat est encore loin d’être fini, ça n’est que le commencement (elle va devoir rencontrer un endocrinologue, afin de surveiller les prémices de sa puberté pour en bloquer à temps les changements qui pourraient se révéler irrémédiables). 3 abonnés Sa caméra est cachée, jamais intrusive, elle flotte en apesanteur, là et pas là en même temps, elle montre, retranscrit, traduit des émotions et des ressentis. Carte d’identité : Nom: Petite Fille Père: Sébastien Lifshitz Date de naissance: 2019 Majorité: 02 décembre 2020 Type : diffusion sur Arte (dispo sur ArteVOD) Nationalité: France Taille: 1h25 / Poids: NC Genre: Documentaire. Un film tranche de vie, simple et sans prise de tête. Une famille juste géniale et tellement aimante. un Amour familial immense, une écoute et une bienveillance rares au sein du clan. Petite Fille " nommée cette année au European Film Awards est un très beau documentaire sur la transidentité . Fin 2020, son documentaire “Petite fille”, diffusé sur Arte et racontant le parcours d’une petite fille trans de 7 ans avait été salué par la critique. Comment faire face à un tel manque de dialogue ? On mesure pleinement la souffrance de Sasha, au travers certaines scènes bouleversantes, alors que sa famille est une merveille de bienveillance et d'équilibre : Petite fille nous fait ainsi mesurer avec éclat quel enfer ce serait pour elle de grandir dans un milieu qui la rejetterait, ce qui doit malheureusement arriver bien souvent. D'avoir été au plus près de l'intimité de Sasha et sa famille, de son combat, ne peut que donner l'envie de l'encourager et la soutenir. Cette petite Sasha a beaucoup de chance d'avoir des proches aussi ouverts car c'est malheureusement loin d'être le cas dans notre société. Cette « petite fille » douce et discrète enfermée dans un corps de garçon qui semblerait ne pas lui appartenir, fait preuve de beaucoup de courage, malgré l’incompréhension, l’intolérance et la stupidité de certains adultes qui n’ont rien compris, que cela doit être douloureux d’endurer tant de souffrances si jeune. Petite fille (2020) c’est l’histoire touchante et attendrissante de Sasha, 7ans, assignée garçon à la naissance. Sasha a 7 ans et se sait être une fille, en dépit de son sexe de naissance. Il a trouvé une fin qu’on espère provisoire l’année dernière à travers Petite fille, nommé au European Film Award du Meilleur Documentaire. Qui sommes-nous | Si ce n’est pour revendiquer «  moi, je suis un garçon ». Mais j’ai vu dans ce doc un petit garçon diablement intelligent. J’ai été bouleversée et très émue par ce merveilleux documentaire tout en finesse et en pudeur. Toutefois, j’ai eu surtout le sentiment de suivre un reportage sur une mère et sa fille qui est un peu (beaucoup ?..) Mais avec ce don d’être invisible. On n'est pas obligé d'être une fille pour se déguiser en fée. Sébastien Lifshitz venait de nous offrir une chronique de la jeunesse tout simplement belle et juste à travers Adolescentes (2019), son documentaire sorti en salles en septembre dernier. Nationalité : France Le « facetime prank », challenge cruel sur Tiktok Lire ses 923 critiques, Suivre son activité Car le documentaire de Sébastien Lifshitz est bel et bien cela : une ode lumineuse à la liberté d’être soi. Le récit d’une transformation vécue à la fois … L’hôpital (via son pédopsychiatre Anne Bargiacchi) a beau avoir reconnu Sasha comme enfant transgenre, rien à faire, le proviseur et son professeur persiste à ne rien vouloir savoir, fermant toutes les portes au moindre dialogue. Genre : Documentaire Nationalité : Français Durée : 1h25min Synopsis: Sasha, né garçon, se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. « Grâce » parce que ses films dégagent une délicate magnificence forgée dans un véritable sens du beau et de la subtile émotion. Entre les doutes, les brimades, la peur, la colère, les réflexions et les discussions, il y a l’amour qui surmonte tout. N’est-ce pas la preuve d’un œdipe réussi ? Quelques mois plus tard, Sébastien Lifshitz est (déjà) de retour avec Petite Fille, qui lui en revanche ne verra pas le jour au cinéma mais directement sur Arte le 02 décembre prochain (et déjà disponible sur ArteVOD). Digne héritier des plus grands et dont la douceur du regard documentaire rappelle un peu les travaux de Nicolas Philibert, Lifshitz est un prodige qui sait allier sans commune mesure justesse et poésie, avec une grâce engagée comme on en voit rarement. Prendre toute la place aux yeux de la mère , et n’y a t elle pas réussi ? En regardant "Petite Fille", on se demande effectivement pourquoi être soi devrait se heurter à tant d’obstacles. Petite Fille va capter toute sa détresse d’enfant, sa douleur, et celle de ses parents qui vont mener un véritable combat pour faire reconnaître leur enfant comme elle le souhaite et ainsi lui rendre une enfance que la société est en train de lui voler. Il y aurait de quoi en parler sur des centaines de pages... Bref, c'est un reportage "intéressant" mais qui ne donne pas une image objective à 100 % sur le problème de la dysphorie de genre. L’AMOUR, Sasha il n’y a rien de plus beau ni de plus fort, et tu as beaucoup de chance de ce côté là. Malgré elle sans doute. Le film suit sa vie au quotidien, le questionnement de ses parents, de ses frères et soeur, tout comme le combat incessant que sa famille doit mener pour faire comprendre sa différence.Courageuse et intraitable, Karine, la mère de Sasha, mène une … "L'humain est contraint, il ne peut pas tout" : la tribune de pédiatres et psychiatres sur le documentaire "Petite fille" Tribune. Un documentaire bouleversant de Sébastien Lifshitz "Quand je serai grand, je serai une fille", répète Sasha depuis qu’il a 3 ans. continue a te battre pour etre la personne que tu désires. Nom : Petite Fille Lire ses 509 critiques, Suivre son activité Un documentaire pressé de montrer son sujet, annoncé à l'avance (la dysphorie de genre chez l'enfant). A voir absolument. documentaire bouleversant et trés émouvant, filmé avec pudeur et sensibilité. Je recommande vivement. 6 abonnés Lundi 23 novembre à 21 heures, découvrez en ligne le dernier documentaire de Sébastien Lifshitz sur le quotidien d'une petite fille transgenre. la star de la famille. Je n’arrive donc pas à me faire une idée. Majorité : 02 décembre 2020 Suis ton chemin chère petite Sasha, entourée par tes parents qui te portent un inconditionnel Amour, tes frères et soeurs qui sont très présents également pour t’aider et te soutenir. Voilà à quoi ses parents ont dû faire face en plus des accusations et des menaces. Deux détails : la place du dernier né da cette famille, et comment l’enfant Sasha a réagi à cette naissance ? Bravo et courage pour la suite... 15 abonnés Film à voir absolument car même en 2020, sujet finalement trop peu abordé. Synopsis : Sasha, né garçon, se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. https://www.allocine.fr/film/fichefilm-281035/critiques/spectateurs This page is having a slideshow that uses Javascript. Telle une image subliminale qui viendrait clore en beauté cet émouvant documentaire. Une maman admirable et très forte. Il s’en dégage un peu de douleur et de cruauté certes, mais aussi beaucoup de lumière et beaucoup d’amour, l’amour inconditionnel de parents dévoués et l’amour indéfectible d’une enfant qui se sent aimée. La petite fille prend la place de la mère ! À mon sens, ce documentaire sera très vite obsolète : il favorise les grosses étiquettes et se révèle au fond beaucoup plus conservateur qu'il n'y paraît. Votre sensibilité et votre écoute ont permis à la famille de Sasha de nous dévoiler sans voyeurisme, leur intimité et leur lutte quotidienne pour que Sasha soit juste heureuse. Critique Petite fille : un combat d’un nouveau genre By Mélina Hoffmann 25 novembre 2020 Aucun commentaire Petite fille est un film documentaire bouleversant qui suit le quotidien de Sacha, né garçon, qui se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans. Un enfant pleure, c'est émouvant. Comme dans ses films précédents, Sébastien Lifshitz déploie ici ses incroyables qualités de documentariste, qui lui permettent de s'immiscer avec une facilité fascinante dans l'intimité de ses sujets. Avec quelques efforts, un peu de bienveillance, d’ouverture d’esprit et de compréhension, la vie de la petite Sasha aura pu être plus simple malgré la complexité de son problème, son enfance n’aurait pas été un combat douloureux. Le film suit sa vie au quotidien, le questionnement de ses parents, de ses frères et sœur, tout comme le combat incessant que sa famille doit mener pour faire comprendre sa différence. Lire ses 3 critiques, Suivre son activité Autre détail, le jeu des poupées. face a eux, la bétise et la violence d' adultes butés, fermés, et intransigeants! Lire ses 9 critiques, Suivre son activité Elle qui n’aspire qu’à une chose, pouvoir vivre et s’épanouir comme une fille, pouvoir pleinement vivre sa vie de petite fille, sans jugement et sans intolérance. Le père est effacé (bien que fort heureusement pour l'enfant d’accord avec la démarche et positionnement de son épouse), les autres enfants, que ça soit la très grande soeur ou les deux frères, ne s’expriment jamais.. Car certes, il n’y a pas de violence physique montrée dans ce film, mais la violence psychologique de certaines situations et la force des émotions provoquées par ce film sont presque traumatisantes, même pour moi. C’est quand même elle qui phagocyte tout, elle qui s’exprime, elle qui pleure, elle qui répond même à la place souvent de la petite Sasha. Pour son documentaire sur Sasha, 7 ans, née garçon et qui se vit comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans, Sébastien Lifshitz livre un vibrant hymne à la tolérance et à la liberté baignée par les musiques de Jocelyn Pook, Vivaldi, Dvorak, Debussy, ou encore Ravel. Comme si elle devait en mener un..... Sébastien Lifshitz défend fermement une cause mais sans jouer les frondeurs façon Michael Moore. Benjamin Lavernhe, Sara Giraudeau, Kyan Khojandi, Avec Intelligents et poignants, ses films ont aussi une vraie patte esthétique qui confère au magnifique. Ça ne l’est pas le moins du monde.. Un documentaire courageux et délicat sur le droit à la différence. Face à une telle ignorance et face à des jugements ? Critique : Petite fille par Fabien Lemercier 22/02/2020 - BERLINALE 2020 : Poignant et édifiant, le documentaire de Sébastien Lifshitz lève le voile avec délicatesse sur une lutte contre les rigidités des normes sociales face à la question du genre Pourtant, Sasha vit un calvaire, celui ne pouvoir être la personne qu’elle souhaite, de ne pouvoir être reconnu comme tel, vis-à-vis de son école ou même au sein de son cours de danse (la séquence racontée par sa mère où Sasha se fait mettre à porte du cours est bouleversante).