Maxime, reconnu auguste par Théodose Ier à la fin 384, étend son autorité sur les Gaules, les Germanies romaines, la Bretagne, et une partie de l'Espagne, et installe son quartier général à Trèves. J.-C. À côté des qualificatifs habituels comme felix (« chanceux, heureux »), on associe de plus en plus le terme invictus (« invaincu »). Ce faisant, ils chassent les autres tribus qui se trouvent sur les territoires qu'ils traversent. Oktober 208-19. Vois-tu une différence entre ces deux personnages ? Il se porte en 334 sur le Bas Danube[pi 12]. Sorte de couronne, portée par les souverains de l'. Quels sont les personnages sculptés ? Media in category "Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain (1819)" The following 15 files are in this category, out of 15 total. Pour résoudre cette situation, Galère fait appel à Dioclétien. Quiz 28 L'Empire romain : Un quizz qui parle de l'Empire romain. Si l'Empire parvint, dans un premier temps, à repousser les envahisseurs, la crise du troisième siècle vit les frontières céder une première fois. Ancient Roman Empire. Dans les années 327-329 il s'établit principalement sur la frontière danubienne, et il lutte contre les barbares, Goths notamment. Ce dernier ne règne que quatre-vingt-huit jours. Trébonien Galle et Émilien se succèdent à un rythme rapproché. J.-C., son premier choix est Marcellus, son neveu, qui épouse alors Julia, fille d'Auguste, mais il décède en 23 av. Il force alors Maximien à se retirer une seconde fois, et reconstitue une tétrarchie : en Orient, Galère reste auguste avec Maximin II Daïa pour césar ; en Occident, Constantin est reconnu césar, et un nouvel auguste est envoyé, Licinius. Ils représentent l'empereur dans des vastes circonscriptions territoriales, qui regroupent plusieurs diocèses. Rapidement, ceux-ci obtiennent le ralliement de nombreux gouverneurs et de nobles, à l'instar de Timésithée, mais surtout du Sénat. L'époque est alors troublée : l'usurpateur Carausius gouverne la Bretagne, la Gaule est en proie à la révolte des Bagaudes, les frontières du Rhin et du Danube sont menacées par les barbares, les Perses suscitent des troubles en Orient et l'Égypte est très agitée[p 56]. Sur le plan militaire, Dioclétien revient à la stratégie du Haut-Empire de la défense aux frontières : les troupes sont positionnées en un « cordon frontalier »[24]. Il n'oublie pas les provinces où il prend de très nombreuses décisions. Aucun membre de la lignée des Julio-Claudiens n'est apte à prendre le pouvoir, et son règne, désastreux, ternit définitivement l'image de sa famille, qui n'est plus bénie et protégée par les Dieux. Cette rénovation de la religion romaine traditionnelle à laquelle s'ajoute la puissance de l'empereur, se plaçant sous la protection de Mars et d'Apollon, devenant un élément essentiel dans la religion, permet aux Romains de penser que l'entente entre les dieux et les hommes est de retour, et que cette harmonie renaissante est annonciateur d'un nouvel âge d'or[m 17],[p 20]. Il n'y a pas de partage territorial de l'Empire romain[N 4] — il y a toujours une préfecture du prétoire par exemple, « ce qui est décisif »[p 58] —, mais les quatre hommes se répartissent le commandement des troupes et les secteurs dans lesquels ils interviennent. Les sénateurs refusent et, selon un scénario certainement préparé, ils lui attribuent le pouvoir proconsulaire pour dix ans[m 3],[p 1]. La présence romaine en Bretagne et en Germanie est sérieusement renforcée. Au début de son règne, il fait preuve d'un grand respect envers le Sénat qu'il consulte fréquemment[m 23],[p 26]. Sa conquête de la Dacie enrichit considérablement l'Empire, la nouvelle province possédant plusieurs mines de métal de grande valeur. Ce partage est dans la continuité des règnes précédents — notamment celui de Valentinien et Valens — et l'unité de l'Empire demeure, renforcée par Stilicon, qui doit veiller sur eux[p 95]. Galère est rappelé sur le Danube, mais les quatre hommes ont eu le temps de se concerter en Italie du Nord. Le 1er janvier 29 av. Karte von Europa in IV Blättern 1 : 6000000 Bär, J.C. ; Stülpnagel, Friedrich von Justus Perthes. Les raisons profondes qui ont conduit les empereurs à abdiquer sont inconnues. Les empereurs essaient cependant de trouver une légitimité plus grande en s'appuyant sur la religion. invictus constantinus max[imus] aug[ustus], Size and Duration of Empires: Growth-Decline Curves, 600 BC to 600 AD. Cependant le naturel inquiet de Domitien, sa tendance à voir des complots partout, sa violence et son autoritarisme assombrissent la fin de son règne. Un projet de partage de l'Empire est conçu en 335 (Constantin se sentant affaibli) : l'État est partagé entre les trois fils de l'empereur, ainsi que Dalmatius et Hannibalianus, ses neveux[pi 13]. La plupart des auteurs s'accordent pour dire que le traumatisme de ces événements a renforcé l'influence des chrétiens sur Constantin[p 81]. Dès 29 av. Celui-ci porte un diadème[N 9] orné de pierres précieuses qui symbolise son pouvoir, et baiser le bas du grand manteau pourpre qui couvre l'empereur (rite de l'adoratio) est un honneur pour ses sujets[pi 2]. Cet empire puissant, bien structuré et agressif fait peser une pression constante sur les provinces d'Asie. J.-C. correspond à l'octroi par le Sénat à Octave du surnom d'Augustus (« Auguste »), date traditionnellement considérée comme le début du principat. L'assassinat de celui-ci, qui s'est comporté en tyran durant une grande partie de son règne, met fin à la dynastie des Antonins. Mais l'accent est désormais aussi mis sur la diversité des situations régionales, le maintien d'une prospérité en Afrique, sur l'existence de périodes de redressement ou sur les capacités de relèvement et de résistance, induisant plus une période de mutation qu'une crise et un déclin continus. Après avoir vaincu Marc Antoine à la bataille navale d'Actium par l'intermédiaire de Vipsanius Agrippa en septembre 31 av. Agrippa est plus un dépositaire du trône en cas de disparition de l'empereur qu'un successeur. Cinq empereurs remarquables sur six choisissent, de leur vivant leur successeur car ils n'ont pas de fils, toutefois le choix se porte toujours sur de proches parents. Lorsque Vespasien est proclamé empereur, et qu'il met fin au court règne sanglant de Vitellius, la population et le Sénat, las d'une nouvelle guerre civile meurtrière, accepte que ce soit la victoire militaire qui décide de celui qui deviendra empereur entre deux dynasties. Après s'être assuré de la neutralité de Licinius, Constantin franchit les Alpes en 312, et défait Maxence à la bataille du pont Milvius le 28 octobre 312[p 75]. Sa mort, suspecte, prive l'Empire d'un appui solide et Tibère d'un successeur possible[m 23],[p 29]. Il agit alors pour préserver l'unité de l'Église, menacée par l'arianisme. Il négocie avec le roi Phraatès IV, l'Arménie revient sous la coupe romaine, Auguste récupère les enseignes prises aux légions de Crassus trente ans plus tôt, ainsi que les prisonniers encore en vie[m 7],[p 11]. C'est une période complexe où l'Empire est profondément réformé et transformé devant les périls intérieurs et extérieurs qui le menacent, au prix d'une mobilisation toujours plus importante et lourde de la société. Le brassage culturel qu'apporte l'Empire s'accroît, les religions venues d'Orient deviennent plus populaires dans l'Empire, en particulier le culte de Mithra parmi les militaires. Cependant, un rétablissement de la République semble impossible après près d'un siècle de guerres civiles, où les chefs de guerres et hommes politiques prennent, en tant qu'individu, une place prééminente, et admise par tous[m 2]. Cette hypothèse est contestée, mais il demeure qu'en 305, les deux augustes abdiquent le même jour (1er mai 305) pour laisser la place à leurs Césars, Galère (Orient) et Constance Chlore (Occident), qui deviennent à leur tour augustes[p 71]. Les conspirations se multiplient, l'empereur vide les caisses de l'État par ses nombreuses extravagances et fait preuve d'une extrême cruauté, gouvernant en monarque oriental[m 25],[p 32]. Les biens de la dynastie julio-claudienne sont versés dans le domaine public, l'empereur ordonne de nombreux cens et cadastre pour lutter contre les fraudes et pour que chacun paie son dû. Auguste s'intéresse particulièrement aux problèmes religieux, cherchant avant tout des solutions dans la tradition mais n'hésitant pas non plus à faire quelques innovations très importantes pour l'empire romain[m 13],[p 19]. Mais ses deux mentors disparaissent : Burrus meurt en 62 et Sénèque se retire[m 27],[p 36]. À partir de ce moment, Auguste détient un pouvoir absolu[p 6],[m 4],[m 5]. Pour les territoires administrés par Rome, voir. Durant cette crise, le Sénat, qui a vu son pouvoir décliner sous les derniers Julio-Claudiens, se trouve impuissant. Cette définition, issue de l'encyclopédie en ligne Wikipédia, est probablement la plus simple et concise qu'il soit, et elle est d'ailleurs fortement complétée dans les lignes qui suivent. Kaiser seit 222. Cela le rend impitoyable, lui qui a toujours été écarté du pouvoir réel, ne supporte pas l'opposition, et les procès et les exécutions sommaires se multiplient, à l'instar de la fin de règne de Néron. Il lutte alors contre les Alamans, et le calme revient sur cette frontière[pi 9]. Ce dernier s'enfuit et se suicide[m 28],[p 38]. Auguste affermit la puissance romaine autour du bassin méditerranéen, cherchant à la fois à organiser et optimiser les frontières de l'Empire[m 7],[p 9]. Ce terme n'est toutefois apparu qu'au XVIe siècle, ses habitants de l'époque l'appelant toujours « empire des Romains ». Se reporter à l'article sur la Rome antique et à la série d'articles associés pour connaître l'histoire de Rome comme civilisation antique, républicaine et impériale et la chronologie impériale associée. La période comprise entre 235 et 268 est assez mal connue. {{fr|1=Grandes invasions de l'Empire romain.}} COÛT% DE L'ARMÉE DE TERRE PIB L'EMPIRE ROMAIN date population Empire PIB Empire (millions denarii) (A) Armée Coût (millions denarii) (A) Armée Coût (% du PIB) 14 après Jésus-Christ 46000000 5000 123 2,5% 150 A.D. 61000000 6.800 (B) 194 (C) La question de la succession demeure alors ouverte mais une guerre civile marquant la fin de la dynastie des Flaviens est évitée, contrairement à la fin de la dynastie Julio-claudienne. Celui-ci régnant surtout sur la péninsule balkanique, grâce à un compromis conclu avec Maximin. La période tétrarchique est marquée par un grand nombre de constructions militaires dans tout l'Empire[32] : la frontière un peu partout est renforcée par de nouveaux forts, des tours et des routes en rocades[p 67] — telle la Strata diocletiana en Syrie. 1 : 17200000 Malte-Brun, Conrad, 1775-1826 De plus, la famille impériale règne en maître absolu, bien que faisant preuve de bonne volonté et gouvernant avec sagesse. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l'appellation « byzantin » (qui date du XVIe siècle mais était peu utilisée) se généralise pour l'Empire romain d'Orient, mais en fait, il n'existe pas de fondation ou de début de l'Empire byzantin, qui n'est que la période médiévale et finale de l'Empire romain et prend fin en 1453[2]. Sous son règne, l'Empire prospère et accumule des fonds qui contribuent alors à assainir les finances[p 27]. La victoire et l'armée deviennent la source de la légitimité des empereurs[11]. À l'Est, il mêla, comme jadis à l'Ouest, des éléments de civilisation grecs et latins, mais la part grecque est devenue prépondérante. J.-C.[m 7],[p 10], il annexe une partie des vassaux, clients et alliés de l'Empire, notamment en Syrie et en Anatolie[m 7],[p 11], puis termine la conquête de l'Hispanie[m 8],[p 12] après avoir pacifié la Gaule[m 8],[p 13]. Aurélien réunifie l'Empire en mettant un terme aux sécessions palmyrénienne et gauloise et fortifie Rome. Dans la continuité d'un effort commencé par d'autres empereurs, il s'attache à favoriser l'intégration des provinciaux, notamment par la création de colonies honoraires : alors que le terme colonie désignait le plus souvent l'installation de colons romains, il est désormais un titre honorifique concédé à une cité et qui donne la citoyenneté romaine à tous ses habitants. Ils ne deviennent fils de dieux et ne sont inspirés par la grâce divine qu'à partir du jour de leur investiture (le dies natalis)[37], et perdent cette filiation après leur abdication : la présence divine est attachée à leur fonction, non à leur personne[p 69]. La cour grossit par l'augmentation du personnel du palais (organisé autour de la « chambre sacrée » — sacrum cubiculum) et par la multiplication des comites[N 15], c'est-à-dire des « compagnons » (francisés souvent en comtes). Les évènements autour de la succession d'Auguste sont très importants pour toute la suite du Haut Empire romain, déterminant les principes de succession pour toute la durée du principat[m 20]. Pour les remplacer, il crée les scholes palatines (environ 2 500 cavaliers), recrutées chez les Germains[49]. De nombreux anciens rites sont rétablis, et des monuments religieux sont rénovés ou construit (82 temples[p 19],[m 15]). « Tétrarchie » est le nom donné au régime politique construit petit à petit par Dioclétien, qui a consisté dans les faits pour l'empereur à se choisir des collègues (un auguste et un césar par auguste) pour l'aider à assurer la défense et l'administration d'un empire immense, attaqué de toutes parts, auquel un seul homme ne peut suffire. À cette époque, le pouvoir était devenu un régime absolu, avec une cour et un protocole de type oriental. Frère de Germanicus, il a toujours été épargné et laissé de côté, jugeant son physique ingrat, ses capacités à gouverner limitées, et n'ayant jamais occupé aucune charge importante, hormis un consulat. Aurélien place ainsi l'Empire sous la protection de Sol Invictus (« le Soleil invaincu »), dont il tire son pouvoir[p 52], et il se fait appeler sur ses monnaies deus et dominus (« dieu et seigneur »)[p 52]. Des généraux, Galba, Othon et Vitellius sont tour à tour nommés empereurs par leurs troupes puis assassinés en 69. Contrairement à la République, qui était oligarchique, l'Empire fut une autocratie, tout en conservant durant le principat des apparences républicaines : le pouvoir politique était principalement détenu par un seul homme, l'empereur, qui s'appuyait sur une bureaucratie sans cesse plus développée, sur une administration territoriale importante et sur une puissante armée. On considère généralement que c’est sous son règne que l’Empire romain connaît sa plus grande extension avec les conquêtes éphémères de l’Arménie et de la Mésopotamie et celle plus pérenne de la Dacie ainsi qu'avec l'annexion du royaume nabatéen de Pétra qui donne naissance à la province d'Arabie Pétrée. C'est, en langue française, la plus récente synthèse sur l'Empire romain. La majorité des soldats de l'armée romaine demeurent cantonnée dans les provinces, mais une armée centrale, qu'on dit « d'intervention » a bien été développée au cours du IVe siècle[55]. 12, 12:30 : Ces peintures murales étaient typiques pour le Bas-Empire romain. Global file usage. L'Empire romain (en latin : Imperium romanum ; en italien : Impero romano) est le nom donné par les historiens à la période de la Rome antique s'étendant entre 27 avant JC et 476 après JC. À la mort de Néron, l'Empire connaît une première crise. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "empire romain" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Ce succès diplomatique a, pour les Romains, la même importance qu'une victoire militaire, mettant l'Empire parthe au même titre qu'un vassal de Rome[m 7]. La plupart des historiens (Theodor Mommsen, A. H. M. Jones, André Piganiol notamment) penchent pour une augmentation des effectifs sous Dioclétien[33]. En Afrique, Maximien Hercule rétablit le calme et la sécurité en 296 et 297[p 61], et il fortifie la frontière, abandonnant peut-être certaines portions du territoire romain, en Maurétanie Tingitane notamment[18]. Trajan est le premier empereur romain issu d'une famille établie dans une province, mais celle-ci est en fait originaire d'Italie et s'est installée en Bétique en tant que colons. La paix, tant intérieure qu'extérieure, permet à Auguste de renouveler les structures administratives sans heurter l'opinion[m 5],[p 17]. Il abandonne la politique augustéenne des états-clients et préfère l'annexion pure et simple[p 46]. Il domine par sa personnalité ses collègues, il est le plus ancien des augustes et il est qualifié de Jovius, « Jovien », c'est-à-dire « descendant de Jupiter », ce qui lui confère une primauté religieuse[17]. Mais le principat est ancré dans les esprits, surtout après le long et heureux règne d'Auguste. Date Event 813 June A group of soldiers broke into the Church of the Holy Apostles and pleaded with the body of the iconoclast basileus Constantine V to restore the Empire, marking the beginning of the second Byzantine Iconoclasm. Il constitue une importante cavalerie, techniquement différente de la cavalerie légionnaire, qu'il place sous le commandement autonome d'un magister equitum[p 50]. Bien qu'Auguste ne soit pontifex maximus qu'à partir de 12 av. Par une loi, il reçoit tous les pouvoirs qu'ont détenus les Julio-Claudiens. Le vocabulaire change également : la titulature impériale s'enrichit, à côté des mentions habituelles, d'une « terminologie adulatrice et emphatique »[pi 3] à partir d'Aurélien. Il est assassiné en 96 par une conspiration de palais[p 48]. En 260, Valérien est même fait prisonnier par les Perses et finit ses jours comme esclave en Iran. J.-C., la situation institutionnelle n'évolue pas, avec le onzième consulat de l'empereur. Après avoir permis à nombre de membres des élites provinciales de devenir citoyens et en élargissant la citoyenneté à des zones entières, Auguste rend plus rigoureux son accès et limite les affranchissements[m 12]. At the Battle of Adrianople, 9 August 378 CE, the Roman Emperor Valens was defeated, and historians mark this event as pivotal in the decline of the Western Roman Empire. Il choisit le nouvel empereur, qui est ensuite avalisé par le Sénat. C'est pourtant cette politique défensive et attentiste qui annonce les difficultés financières et militaires de l'Empire romain. À la fin du règne, le titre devient purement honorifique[pi 15]. J.-C. Il est resté dans l’historiographie comme le « meilleur des empereurs romains » (optimus princeps). Le partage se veut donc purement administratif. Julius Nepos prétendait toujours au titre d'empereur d'Occident depuis son réduit de Dalmatie, et était reconnu comme tel par l'empereur byzantin Zénon, ainsi que par Syagrius, qui était parvenu à sauvegarder une enclave romaine dans le nord de la Gaule.