341 abonnés Le tout manque de liant, de souffle. On sort TRÈS VITE du film du fait de ce manque d’empathie qu’on a pour les personnages. Le lendemain encore j’ai personnellement - et la personne qui m’accompagnait également - HONTE d’avoir vu un tel film. Proposant de belles fulgurances, il oscille toujours entre une douce poésie et une violence brutale. Ce qui est un comble pour un film qui voudrait mêler fantastique et histoire d'amour. Share. 556 abonnés Seulement voilà, une fois la créature rencontrée (c’est-à-dire au bout d’un quart d’heure donc), le film s’enfile alors très rapidement sur un rail et n’en déviera dès lors plus jamais. Par contre, 4 séances par jour pour "Les Tuches 3" ! Enfin, il y a manifestement une erreur au générique qui crédite Guillermo del Torro alors qu'il est aveuglant que le réalisateur est Jean-Pierre Jeunet. Prêt à boire, le saké est fait d’au moins 80 % d’eau. 280 abonnés Amateur de Guillermo Del Toro, un des cinéastes contemporains les plus talentueux en termes visuels et narratifs, je dois avouer que son *Shape of Water* ne m'a pas procuré l'effet escompté, plutôt un agréable divertissement qu'un film profondément touchant comme a pu l'être *L’Échine du Diable* ou *Le Labyrinthe de Pan*. Poétique, le nouveau Guillermo del Toro n'atteint néanmoins pas la puissance dramatique du Labyrinthe de Pan, bien qu'il essaye d'en reexploiter les ficelles : l'alliance du fantastique et de l'horreur de la réalité politique et de ses sbires bien moins humains que les créatures de son cinéma. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres…, Attendre un film qui nous tient à coeur nous donne l'occasion de ressentir des sentiments contrastés. La créature filmée "dans une diaprure bleu-vert" (dixit "Le Monde") ? On finit par se moquer de ce qui peut leur arriver. Tout n'est que du déjà-vu : genre "la belle et la Bête", mais en 10 fois moins bien, façon gentil Monstre des marais, avec une leçon de morale bienpensante : "rejeter les autres, c'est pas beau". Pas très original, donc, si ce n'est l'univers visuel et la poésie dure propre au réalisateur mexicain qui met toute sa personnalité dans ces œuvres les moins commerciales. Preuve en est, La forme de l’eau est aussi reparti avec le Lion d’Or à la Mostra de … L’académie ne devait pas encore être prête en 2006 à offrir un tel prix à un film fantastique. Car c’est bien un conte que Guillermo del Toro décide de nous présenter. Pourtant, Guillermo Del Toro, aussi sacré meilleur réalisateur aux derniers Golden Globes, livre un film hommage aussi artificiel qu’anodin. Porté par Sally Hawkins (Elisa), ce film permet un véritable retour aux sources pour le cinéaste mexicain qui n'a pas volé les quatre Oscars (film, réalisateur, musique, décors) reçus pour sa nouvelle production américaine. Passé le discours général, vantant un respect mutuel malgré nos différences, le scénario reste expéditif et franchement convenu. Et comme disait je ne sais plus qui : "Le moins bon film d'Hitchcock sera toujours bien meilleur que le meilleur des films de beaucoup d'autres réalisateurs", et ça marche tout à fait ici. Lire ses 1 446 critiques, Suivre son activité Lire ses 3 543 critiques, Suivre son activité Ancré dans une Amérique des 60’s ou le rouge et le Rouge sont proscrits, le film s’habille d’une... CRITIQUE, del toro, la forme de l'eau, monstre, shannon Poster un commentaire Navigation des articles " Critique: Moi, Tonya. L’amour des monstres de Mr. del Toro sert son film comme jamais. Récompensé du Lion d’Or à Venise, La Forme de l’eau est l’œuvre la plus nommée aux Oscars 2018. Peut-être une intention délibérée de Guillermo del Toro, mais qui finit dans ce cas par s’épuiser elle-même à force de s’éterniser ! Vous aimerez peut-être "Le grand triton" de Guillermo del Toro [je viens de passer deux heures à chercher l'équivalent masculin de la sirène et ne me cherchez pas des poux dans la tête si le triton ne correspond pas tout à fait]. Fishpond New Zealand, Doctrine, Histoire, Pratique Et R forme Financi re, Critique de la Science Des Finances (Sciences Sociales) by Emile WormsBuy . L'histoire s'intéresse à Elisa (Sally Hawkins). Je n'ai vu dans le conte de fées de Guillermo del Toro à la naïveté assumée qu'une historiette simpliste aux personnages manichéens et à l'intrigue cousue de fil blanc. Les dernières minutes s’étirent longuement dans l’ennui. Certain en attendait peut-être beaucoup de ce film et ont été déçus, d’autres ont été touchés par la poésie narrative et visuelle de ce film; dont moi. Un film d’une bêtise et prétention sans borne servis dans un cadre brouillon, pas malin et indigent ! 152 abonnés Le nombre de fois où on s’est regardés effarés devant ce film ... j’ai tellement honte pour Guillermo del Toro ! Donc Amélie Poulain est descendue de la butte Montmartre, elle fait le ménage dans un labo où elle a une bonne copine et là elle tombe amoureuse d'un monstre marin autour duquel ça se bagarre sec entre militaires et scientifiques. Conclusion : impossible de garder en tête ne serait-ce qu'un plan mémorable. Lire ses 425 critiques, Suivre son activité Découvrez la critique du film La Forme de l'eau de Guillermo del Toro - Lauréat du Lion d'Or à Venise, puis oscarisé, La Forme de l'eau est le triomphe de … La Forme de l'eau est un film d' aventure de 2017 , d'une durée de 123 minutes réalisé par Guillermo del Toro . La Forme de l’eau - Guillermo del Toro - critique. La somptuosité gothique des décors ? Bon là, l'impression que j'ai eue, c'est qu'on nous présente des personnages stéréotypés sur fond de guerre froide, avec un scénario très peu étoffé où tout est complètement binaire (la gentille copine noire, le gentil docteur-traître, le méchant... La Forme de l'eau critique par M R - Surréaliste des années 1960 de l'ensemble de drame romantique. Mais, pourquoi me regardez vous comme cela ?? Les services AlloCiné | Lire ses 46 critiques, Suivre son activité Du coup, à part un petit toilettage idéologique des films typés années 60, je ne vois pas vraiment l’intérêt. Film très fade, affadi encore si c'était possible par une production hollywoodienne terne. Les dialogues ne sont pas très réussis. Au mieux du sous-sous-sous Jean-Pierre Jeunet. On attend donc la suite de pied ferme, et on attend encore ! Lire ses 2 184 critiques, Suivre son activité Cette critique de La Forme de l'eau (2017) a été rédigée par Matt M le 05 mars 2018. Certes, Del Torro sait faire de belles images, mais ici, le film rate totalement son propos. 13 fois nommé aux Oscars 2018...Je ne comprends pas !!! La Forme de l’eau est un film enveloppant et foisonnant, qui déborde d’idées et de métaphores. Je ne suis pas un grand fan de Del Toro mais je pensais vraiment que j'allais aimer ce film, sans doute parce qu'il se revendiquait de l'influence de L'étrange créature du lac noir, classique que j'apprécie, en plus on voit assez vite qu'il ose des trucs comme montrer la nudité, la violence brute et les effusions de sang, donc quelque peu en décalage avec les standards hollywoodiens. Accueil. Benjamin Lavernhe, Sara Giraudeau, Kyan Khojandi, Avec Revue de presse | Prévisible car le scénario en lui-même est, dans sa globalité, sans surprise : un être différent de nous est torturé et étudié pour sa différence, et trouve des alliés eux aussi considérés comme différents et méprisés en tant que tels. Critiques et fiches films. Jean-Pierre Jeunet n’a pas eu tort de s’en émouvoir : les parentés... 6.5 /10 Créez un compte ou … etc..). Lire ses 1 033 critiques, Suivre son activité Alors oui la poésie est toujours à fleur de peau, mais elle semble tellement édulcorée, fade et gratuite que l’ensemble manque franchement d’une vraie personnalité, ce que le dernier « Crimson Peak » du même cinéaste, possédait et revendiquait justement à fond ! Simon McQuoid, avec 433 abonnés Mais pas à un public qui aura déjà vu plein de films d'amitié humain-monstre et qui ne s'attend pas à ce qu'on lui présente une resucée de films bien meilleurs. Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultra-secret, elle mène une existence solitaire, d’autant… Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Je suis vraiment déçu par ce film, j'adore ce que peu faire Del Toro, mais c'est sans doute celui que j'aime le moins avec Blade II. Joe Taslim, Josh Lawson, Contact | Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité A voir. Si cette attente peut être envisagée de manière toute enfantine comme l'arrivée de la matinée de Noël, la frustration peut aussi s'inviter, surtout en sachant que le film, déjà sorti, est inaccessible sur grand écran. l'hymne à la tolérance ? Les personnages pas très bien brossés psychologiquement . Del Toro ose filmer les corps nus, ose être sale, puant, suintant et ça fait du bien dans le cinéma hollywoodien, mais toute... Le gros point faible est l'empathie qu'on ressent; ou plutôt qu'on ne ressent pas pour les personnages. La Forme de l’eau - Guillermo del Toro - critique. Sûrement que La forme de l'Eau fera son effet à Hollywood, mais avec le temps il intégrera la longue liste des films oubliables. Del Toro oblige, La Forme de l'Eau est visuellement très riche, référencé et techniquement sans faille. Oscar du meilleur film ! La poésie déployée est souvent teintée de violence, comme "Le Labyrinthe de Pan", à la fois magnifique et terrible. De plus visuellement c'est abouti, je reconnais cette sensibilité d'esthète de Del Toro, cohérent avec son univers à la fois poisseux et féérique, seulement il m'a manqué quelque chose de taille : l'émotion, comme l'impression que tout est bien trop artificiel, la relation entre Eliza et le monstre ne m'a absolument pas touché, quand bien même elle soit symbolique, pourquoi être autant prémâchée ? Tout cela respire plus le conte pour enfant, par la façon simplifiée et assez mièvre de traiter les rapports humains, alors que le côté psychologique reste absent, chaque personnage étant beaucoup trop lisse et plat, trop dans l’apparence, figé comme une image d’Épinal. L'héroïne muette ? Somnolences, distractions, égarements dans mes pensées, récapitulatifs des courses que j’avais à faire après la séance : tout y est passé… Et si d’un côté je maintiens le fait que ce film n’est certainement pas hideux à voir, d’un autre côté je ne peux nier que l’égrènement des minutes fut pour moi de plus en plus rude tellement je n’ai pu me raccrocher à rien. Des gentils très gentils, des méchants très méchants, ainsi que les péripéties habituelles… J’ai eu l’impression de revoir un copier-coller d’« E.T. En effet il manque cette touche de sensibilité, cet aspect d'émotion que j'attendais d'une histoire d'amour forte et improbable.... Mais.... Cela ne vient jamais malgré les nombreuses tentatives de Del Toro, et c'est bien dommage. La seule scène d’introduction suffit d’ailleurs à rappeler le talent de formaliste de l’ami Guillermo del Toro. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec Lire ses 508 critiques, Suivre son activité Si le cinéma de ces deux derniers a toujours partagé les cinéphiles et la critique pour... La réponse est bien difficile à trouver au milieu de ce conte fantastique pétri de bons sentiments qui ne révolutionne pas grand chose, bourré de références pour ne pas dire qu'il pompe à droite et à gauche son inspiration. Lire ses 8 critiques, de Je pourrais vous dire que son action se déroule au début des années soixante, en pleine Guerre froide, à Baltimore, que son héroïne est une jeune femme muette employée comme femme de ménage dans une base secrète de l'armée américaine, qu'une créature aquatique, mi-poisson, mi-homme, y a été capturée et y est soumise aux pires sévices par un gardien sadique, que notre héroïne se prend de compassion pour la mystérieuse créature et décide de la libérer avec l'aide d'une collègue noire, d'un voisin homosexuel et d'un espion russe. Dans la salle se trouvait Alfonso Cuaron, Tilda Swinton, Marisa... On préfère remplir les caisses... Qu'elle aille se faire foutre, l'exception culturelle française !!! Alors ce n'est pas mauvais, il y a plein de bonnes choses dans le film, comme le fait que ça ne soit pas un film sans âme et générique. la merveilleuse histoire d'amour ? une galerie politiquement correct de ce que tout ce que l'Amérique compte de minorités opprimées. Avec un Lion d'Or et deux Golden Globes au palmarès, La Forme de l'eau est annoncé comme l'un des grands prétendants aux Oscars. quelle triste année alors ! Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Ouverture. C'est l’histoire d'un homme-poisson que des méchants ont emprisonné et que des gentils veulent libérer. Mais La forme de l’eau est aussi et avant tout un magnifique pied de nez aux univers enfantins que peuvent prendre les adaptations de Disney, ici l’amour se fait brutal voir…charnel. "La Forme de l'Eau" ("The Shape of Water") marque le retour très remarqué de Guillermo Del Toro avec ce long métrage qui fait énormément parler de lui. OK, l’héroïne est muette mais ça n’en reste pas moins une héroïne ; OK elle aime prendre le temps de se masturber tous les matins et on nous le rappelle bien histoire où on l’oublierait. Autant "Le Labyrinthe de Pan" était une merveille, autant Del Torro nous livre ici le plus lissé et le plus académatique de ses films. Le tout avec des personnages peu sympathiques dans l’ensemble . Lire ses 263 critiques, Suivre son activité », tout cela à la sauce « Amélie Poulain »... Vous avez aimé "La petite sirène" de Walt Disney ? The Shape of Water : Creating a Fairy Tale... Golden Globes 2018 : le palmarès des films. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, The shape of water : le titre de la dernière livraison du réalisateur qu’on se plait à qualifier de « visionnaire » est parfaitement éloquent, et trouve, dès sa séquence d’ouverture, sa ligne de conduite : son film est avant tout une forme : plastique, ambitieuse, poétique et ostentatoire. Entre la réalisation de son blockbuster Pacific Rim, l’écriture du Hobbit et le bide de Crimson Peak, c’est une décennie mitigée. Bigre ! LA CRITIQUE DE LA FORME DE L’EAU Résumé : Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultra-secret, Elisa mène une existence morne et solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. « La Forme de l’eau », c’est aussi la 7e collaboration entre Guillermo del Toro et Doug Jones, après « Hellboy » (dans le rôle de Abe Sapien), « Le Labyrinthe de Pan » (dans le rôle du faune) ou encore « Crimson Peak » (dans le rôle de Lady Sharpe). Je suis presque désolé de mettre une note aussi basse… Mais bon, mon souci d’honnêteté m’oblige à accorder ma note à mon sentiment. C’est un des films les plus médiocres, fade et mal traités que j’ai vus ces 3 dernières années, vraiment . S'il ne put mettre en place son remake de L'Étrange Créature du Lac Noir, Guillermo Del Toro garda en tête son envie de raconter un amour naissant entre un être amphibien (très inspiré du design de Gill-Man) et un être humain, désir qu'il satisfit avec La Forme de l'Eau, sûrement son oeuvre la plus acclamée depuis Le Labyrinthe de Pan. 42 abonnés OK, la teinte très 60’s donne un côté très classique à l’ensemble, mais cette manière d’amorcer l’intrigue fantastique au travers du regard d’une femme de ménage qui travaille au sein d’un centre aérospatial, j’ai trouvé ça plutôt malin et plein de promesses. Qui sommes-nous | Critique La Forme de l’eau, réalisé par Guillermo Del Toro, distribué par Twentieth Century Fox et sorti au cinéma le 21 février 2017. La forme de l’eau, c’est la rencontre de personnes différentes qui aboutit à un spectacle plein d’amour et de bienveillance. Votre avis sur La Forme de l'eau - The Shape of Water ? C’est dommage, le sujet de base aurait pu être intéressant mais la production, le casting laissent à désirer. 75 abonnés Par les membres ayant fait le plus de critiques. Tellement académique et convenu que, oui, on conçoit que ça puisse plaire à un jury américain bien sage en manque de sentiments polissés. Je ne comprends pas que ce film ait autant d’étoiles critiques. La Forme de l'eau est sans doute le film du metteur en scène qui parle le plus directement de cinéma (et peut-être plus largement d'image). Pas assez de sexe dans ce twilight zoophile. On ne peut pas s’identifier. Pour le reste, rien de très excitant… Le travail sur l'image s'avère banal, d'un vert bleuté sur employé ces dernières années. 26 abonnés C'est bien ce paramètre qui marque la signature du cinéaste mexicain et ce pourquoi je l’apprécie tant. Le Labyrinthe de Pan aurait par exemple (c’est mon avis) davantage mérité de se voir offrir l’Oscar du meilleur film. Privée de sa voix, elle est placée sur un pied d'égalité avec le monstre en étant désarmée et partage avec lui des scènes pour le moins impudiques (longtemps qu'on avait plus vu quelqu'un oser filmer des corps nus sans aucune gêne mais qui ne sombre pas dans l'insolence). Tout semble bien parti avec une recherche esthétique néo rétro aux accents très fifties, dont les éclairages et les décors sont parfaitement au diapason... Snif ! Pas crédible . Le premier est la satisfaction : celle d’avoir vu Guillermo Del Toro développer pendant deux heures supplémentaires son univers si particulier, démontrant qu’il fait toujours volontiers montre, plusieurs années après ses débuts, de la même sensibilité de … Elle est son principal ingrédient, elle en influence indéniablement le goût. C’est d’autant plus dommage, car avec cet univers épatant si réussi et si flatteur à l’œil, il ne manquait pas grand chose pour faire de cette fable fantastique un vrai sujet digne d’intérêt et de plaisir, afin de s’y plonger complètement en rejoignant ainsi véritablement notre héroïne et son prince charmant comme on l’espérait ! Je plaide coupable par avance car "La Forme de l'eau" est le grand favori des Oscars - et que je n'aurais rien à redire à sa victoire annoncée sur les autres films nommés, tels "Get Out", Phantom Thread"" ou "3 Billboards" qui ne m'ont guère plus convaincu. Le 9 juin 2020. Critique de La Forme de l'eau (The Shape Of Water) de Guillermo del Toro, qui sort au cinéma ce mercredi 21 février. L’amour des monstres de Mr. del Toro sert son film comme jamais. Il dépeint avec réussite une décennie colorée, divisée et son message du bon citoyen, en grande partie personnifié en Michael Shannon fidèle à lui-même. Le scénario est donc plutôt quelconque, et malheureusement visuellement ça n'a quasiment aucun intérêt. *The Shape of Water* est donc un joli mode d'emploi de la cinématographie de Guillermo Del Toro, la raison sans doute de son triomphe aux oscars, mais ne constitue en aucun cas son chef d'oeuvre qui reste encore, selon moi, *Le Labyrinthe de Pan*. D’ailleurs, si je m’en tiens au premier quart d’heure du film, j’avais quelques raisons d’espérer et d’apprécier. Si l'univers est incroyable, l'ambiance sublime, Sally Hawkins extraordinaire, Michael Shannon excellent et les hommages cinématographiques nombreux avec un superbe vrai costume, c'est-à-dire pas des images de synthèse. Film de Guillermo del Toro avec Sally Hawkins, Michael Shannon, Doug Jones : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, ... La forme de l'eau. Préférences cookies | L'histoire est un peu prévisible, mais l'acteur, metteur en scène, et l'aspect visuel ont tous été ÉTONNANT. Je l'avais prédis !!!! Au risque parfois de la surcharge — musicale surtout. Allez, passe à autre chose, Benicio ! Un excellent drame fantastique poétique et visuellement éblouissant de Guillermo Del Toro avec une excellente performance de Sally Hawkins qui transmet à la fois délicatesse et force, des plans et des mouvements de caméra fantastiques, un scénario particulièrement intéressant puisqu’il met en scène un personnage principal muet, une photographie à tomber et une sublime BO d’Alexandre Desplat. Il est pas frais mon poisson ? 2094 abonnés A la fin on est soulagés que ça soit fini. Mais celle-ci ne se cache pas toujours là où l'on croit. La Forme de l’eau est un beau film mais le réalisateur a fait mieux. AUCUN des cinémas que je fréquente ne le passera, tout comme La Fleur de la Sorcière. Muette et réservée, semblablement figée dans le temps comme nombre de personnages deltoroiens, l'héroïne s'inspire de films qu'elle voit à la télévision. Si les notes de nos chers éclaireurs tombent, plus dithyrambiques les unes que les autres (c'est pour... 168 abonnés La Forme de l'eau (The Shape of Water) est un film fantastique romantique américain coécrit, coproduit et réalisé par Guillermo del Toro, sorti en 2017. Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Ex. Quoi mon poisson ? Le ridicule est presque atteint lorsque le film s'essaie à la comédie musicale. La forme de l’eau [CRITIQUE] written by Julien 15 avril 2018 Elisa et Zelda sont femmes de ménage dans un laboratoire de recherche qui mène des expériences ultra-secrètes sur une créature aquatique extraordinaire ramenée d’Amazonie où elle était vénérée comme un dieu. A retenir également la musique magnifique de Desplat. Prétentieux. Enfin récompensé par l'Oscar du Meilleur film , Guillermo Del Toro semble avoir convaincu tout le monde avec La Forme de l'Eau. Bref, un film d'une très grande fadeur et plutôt bouffi de clichés (un monstre gentil, une handicapée émouvante, une noire femme de ménage, un blanc méchant, le racisme des années 60, etc. La Forme de l’Eau est un conte étrange, difficile à définir. Un longue ondulation sur un fond marin rocailleux s’échoue sur une chambre inondée. Alors oui, j’ai voulu me raccrocher à cette idée que Guillermo del Toro faisait les choses avec adresse, mais pour le coup ce ne fut clairement pas suffisant. Lire la critique de La Forme de l'eau, Déjà, pour se la péter un peu, car c'est aussi à ça que sert SC, petit point sur les conditions de visionnage de ce film. Difficile de trouver un véritable équilibre avec toutes ces variations, mais on a bien à faire à un beau film. 2017. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Article publié sur https://www.hop-blog.fr/ Et on a un peu honte d’avoir vu ce film, tellement indigne dans son traitement de Guillermo del Toro et ce à quoi il nous a habitué. Les Russes sont un peu plus folklos avec LE chercheur au grand coeur. Publicité | Très bien. Le méchant sous les traits de Michael Shannon fait de l’effet au début, puis devient une caricature de lui-même, tout comme les rôles secondaires, qu’ils soient espions ou pas d’ailleurs... Lire ses 534 critiques, Suivre son activité Sally dort, bercée par les variations de l’eau. Dans un conte comme La Belle et la Bête par exemple les sentiments passent par l'épreuve des apparences, ici la nana semble déjà attirée de manière charnelle par la créature, j'ai beau me forcer à y croire je n'y arrive pas. Lire ses 1 080 critiques, Suivre son activité En effet, j'ai été surpris par la simplicité scénaristique du film qui reste tout de même magnifique audio-visuellement parlant. 2814 abonnés Tout est tellement prévisible, calibré, habituel ! Un conteur. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). et même si la fin semblait sauver les meubles elle se refuse à la tragédie et là ça m'énerve, encore plus ratée que celle de La La Land, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Derision et devotion dans la tradition dramatique, Mortal Kombat Bande-annonce non censurée VF, Detective Conan: The Scarlet Bullet Teaser VO.

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